Comment se faire respecter : 6 conseils indispensables

se-faire-respecterParvenir à se faire respecter dans sa vie privée et professionnelle est une tâche qui peut sembler difficile, en particulier pour celles et ceux qui ont du mal à s’affirmer.

Mais la tâche est possible, à condition de connaître et d’appliquer la bonne méthode.

Vous aussi, vous aimeriez enfin vous faire entendre ?

Voici 6 conseils pour se faire respecter, à connaître et à appliquer sans attendre !

1-Cultiver l’estime de soi

La première chose à faire pour se faire respecter, et aussi la plus importante, c’est cultiver l’estime de soi. Pour être respecté des autres, il faut commencer par se respecter soi-même et être convaincu que l’on mérite d’être traité avec égard par les gens qui nous entourent.

Si vous avez une piètre image de vous-même, vous aurez du mal à vous donner suffisamment de considération et les gens le sentiront. Vous ne serez pas assez ferme et vous ne serez pas en mesure de poser clairement vos limites, car vous ne serez pas convaincu que vous méritez d’être respecté.

L’estime de soi est donc le premier point sur lequel il est essentiel de travailler lorsque l’on veut savoir comment se faire respecter. Vous devez prendre conscience que vous n’avez pas moins de valeur que les autres. Cessez de les idéaliser. Ils n’ont pas plus de qualité que vous, ne sont pas pus dignes d’être considérés et ne sont pas plus doué que vous dans la plupart des domaines.

Pour résoudre votre manque d’estime personnelle, il faut commencer par en trouver la source. Souvent, elle se situe dans l’enfance. Il arrive aussi qu’un événement douloureux détruise l’assurance de quelqu’un.

Faites votre introspection pour mettre le doigt sur l’origine de votre mauvaise image de vous-même. Si le problème vient de votre éducation, il est temps de réaliser que n’êtes plus un enfant et que vos parents ne détiennent pas la science infuse. En vous dévalorisant, ils ont très mal agi et trahi le rôle qui était le leur. Mais vous pouvez dépasser cette blessure.

Vous avez grandi, vous avez réalisé des choses dont vous pouvez être fier et vous n’êtes plus à leur merci comme lorsque vous étiez enfant. Redressez la tête et acceptez une bonne fois pour toute votre statut d’adulte.

Si votre manque d’estime vient d’un événement, comme une rupture douloureuse, ou un échec professionnel, analysez la situation à froid. Faites la liste des choses que vous vous reprochez et demandez-vous avec honnêteté si tout est réellement votre faute.

Dans tous les cas, vous vous apercevrez que vous n’êtes pas en cause. Apprenez à rendre la responsabilité des choses à ceux à qui elle appartient vraiment. Votre confiance en vous et votre amour-propre s’en trouveront grandis et vous serez enfin en capacité de pouvoir vous faire respecter comme vous le méritez.

2-Savoir ce que l’on veut

Autre point indispensable pour se faire respecter : savoir ce que l’on veut vraiment et surtout ce que l’on ne veut pas. Si vous n’avez pas d’idée bien arrêtée en la matière, vous laissez l’opportunité aux autres de projeter sur vous ce qu’ils veulent et de vous plier à leur volonté.

Pour éviter cela, prenez le temps de vous questionner sur vos valeurs, vos croyances et vos envies. Définissez pour chaque domaine de votre vie les grandes lignes de ce que vous voulez et les choses qui vous paraissent intolérables. Ainsi, votre position sera plus solide, car vous savez où vous voulez aller.

De nombreuses personnes n’ont pas l’impression de manquer de respect aux autres en essayant de les influencer, car elles les sentent faibles et sans idées vraiment définies. Elles en profitent pour s’engouffrer dans la brèche et imposer naturellement leur point de vue.

Elles ne perçoivent pas du tout le côté abusif de ce comportement, qui peut être vécu comme un manque de respect violent pour celui qui en est victime. Pour éviter qu’une telle situation se produise, montrez clairement que vous savez ce que vous voulez.

Parfois, les gens au caractère affirmé sont perçus comme des personnes difficiles, mais vous ne devez pas vous préoccuper du regard des autres. S’affirmer n’est pas une chose blâmable, bien au contraire. C’est un comportement tout à fait normal qui prouve que vous êtes un individu mature et stable. Ceux qui essaient de vous persuader du contraire sont ceux qui cherchent à vous influencer.

Assumez vos idées et vos envies sans complexe, c’est le meilleur moyen de vous faire respecter dans la vie, car cela décourage d’entrée de jeu les manipulateurs. Cette attitude demande une force de caractère qui n’est pas forcément naturelle pour certains, mais si vous tenez bon vous ne le regretterez pas.

3-Poser clairement les limites d’entrée de jeu

Savoir se faire respecter, c’est aussi savoir exprimer clairement ses limites d’entrée de jeu dans n’importe quelle situation. Faire l’économie de cette étape revient à dire, d’une certaine manière, que vous n’avez pas de limites bien définies, ou donne à croire qu’elles sont négociables. Face à quelqu’un qui a envie d’obtenir quelque chose de vous, ou de vous plier à sa volonté, poser clairement les choses est le meilleur moyen de vous protéger et d’éviter les malentendus.

Être capable d’énoncer clairement la ligne que vous n’êtes pas prêt à franchir, c’est vous aimer suffisamment pour vous affirmer et proclamer que vous êtes digne de respect. C’est l’un des plus grands services que vous puissiez vous rendre.

C’est également un service que vous rendez aux autres, car cela leur permet de savoir se situer avec plus de facilité par rapport à vous. Souvent, on pense que nos limites ne seront pas acceptées et que les énoncer risque d’engendrer un conflit. En réalité, c’est le contraire qui se passe. Si vous osez vous affirmer, la plupart des gens vous respecteront.

Agir de la sorte permet également d’être fixé sur la vraie nature des gens de votre entourage. Vous saurez que ceux qui vous respectent sans discuter sont de bonnes personnes et des alliés dignes de confiance. Les autres, en revanche sont des personnes bien peu respectueuses puisqu’elles essaient de discuter et de négocier ce qui devrait être accepté sans autre forme de procès.

Une personne qui cherche à vous faire repousser les limites que vous fixez n’est pas quelqu’un de digne de confiance. De tels individus n’ont pas grand-chose de positif à vous apporter et vous devriez réfléchir à leur place dans votre entourage.

Savoir poser ses limites peut sembler effrayant, mais c’est un acte extrêmement libérateur quand on arrive enfin à sauter le pas. Que ce soit dans votre vie de famille, au travail ou avec vos amis, c’est une démarche des plus bénéfique.

Si vous avez peur de vous lancer, commencez avec vos proches et des personnes bienveillantes. Une fois que vous aurez pris l’habitude de vous affirmer, vous pourrez le faire dans des environnements moins sécurisants comme au travail, par exemple.

4-Être ferme tout en conservant son calme

Pour apprendre à se faire respecter, l’un des plus grands défis consiste, en cas de conflit, à faire preuve de fermeté tout en conservant son calme. Certaines personnes n’ont pas leur pareil pour jouer avec vos nerfs et s’évertuent à vous pousser à bout afin de vous faire craquer.

En agissant ainsi, elles vous discréditent et soulignent vos faiblesses. Elles vous font passer aux yeux des autres pour une personne hystérique, qui perd son calme sans raison valable, alors que ce sont elles qui ont commencé à vous provoquer en vous manquant de respect.

Pour ne pas tomber dans le piège, il faut commencer par apprendre à repérer leur manège. Si vous avez suivi les conseils précédents, vous vous rendrez compte qu’elles agissent généralement lorsque vous exprimez vos limites, en tentant de transiger. Elles utilisent un subtil mélange de flatterie et de dénigrement en vous faisant, par exemple, des compliments à double sens ou en agissant avec mépris.

Même si leur façon de faire est détestable, ne vous laissez surtout pas gagner par la colère, car c’est ce qu’elles attendent. Prenez conscience qu’elles tentent de vous piéger et conservez votre calme. Leur stratégie consiste à ne jamais sortir de leurs gonds, afin de garder une image de personne respectable. Jouez le même jeu pour les battre avec leurs propres armes.

Répétez clairement vos limites et les raisons pour lesquelles vous ne changerez pas d’avis. Si vous adversaire essaie de faire dévier la conversation ou de déformer vos propos, recentrez le sujet d’autorité en disant simplement : « là n’est pas la question », ou « il ne s’agit pas de ça ». Si votre vis-à-vis commence à perdre son calme ou essaie de vous intimider, persistez sur votre position et dites-lui clairement que vous ne changez pas d’avis.

Au besoin, n’hésitez pas à mettre fin à la conversation et à partir si vous voyez que la situation tourne à l’affrontement stérile. Il ne s’agit pas d’une fuite, vous avez dit ce que vous aviez à dire et il est inutile de prolonger le débat indéfiniment.

5-Ne jamais dire « oui » en pensant « non »

Ce conseil, pour apprendre à se faire respecter est sans doute le plus important de cet article et ne doit jamais souffrir aucune exception : n’acceptez jamais quelque chose dont vous ne voulez pas au fond de vous. C’est la plus grande preuve de respect que vous pouvez vous donner à vous-même et elle est indispensable pour vous faire respecter par les autres.

Si vous dérogez à cette règle d’or ne serait-ce qu’une seule fois, c’est la porte ouverte à toutes les transgressions possibles. Ne vous dites jamais « c’est seulement pour cette fois », car si vous agissez ainsi vous recommencerez. Écartez-vous de la voie à suivre une fois et cela deviendra une habitude.

Quand vous pensez « non », dites « non ». C’est aussi simple que cela. Le problème, c’est que nous n’avons pas été éduqués pour dire « non ». Depuis notre plus tendre enfance, on nous apprend à faire plaisir aux autres : à nos parents, à la famille, aux professeurs, etc.

Notre consentement pour cela n’est que rarement requis. Lorsque nous exprimons notre désaccord d’une façon trop marquée, il arrive même que nous soyons punis. Cette tendance, à toujours vouloir faire plaisir persiste, hélas, à l’âge adulte. Pour se faire respecter, il est indispensable d’apprendre à lutter contre elle.

Le mot « non » effraie, car c’est un mot plein de pouvoir. Apprenez à l’apprivoiser, car c’est un mot libérateur. Ces trois lettres suffisent à vous délivrer de toutes les choses que l’on tente de vous imposer et dont vous ne voulez pas. De plus, apprendre à refuser, c’est aussi apprendre à accepter.

Si vous savez dire « non », vos « oui » prennent de la valeur, car les personnes qui les reçoivent ont l’assurance de leur sincérité. Refuser ce qui ne vous correspond pas est le seul moyen d’être pleinement en accord avec vous-même et de vous faire respecter par les autres.

6-Savoir fuir les personnes toxiques

Dernier conseil pour apprendre à se faire respecter : être capable de fuir les personnes toxiques. Ce sont ces personnes dont nous parlions un peu plus haut dans cet article. Vous savez, celles qui sont toujours en train de vous dévaloriser, de discuter vos positions et d’essayer de vous imposer leur point de vue.

Ces personnes qui ne vous apprécient pas pour vous-même, mais pou ce qu’elles peuvent obtenir de vous. Ces gens qui ont une capacité surprenante à vous vider de leur énergie, à vous imposer leur présence et à vous faire accepter des choses dont vous ne voulez pas.

Se faire respecter, c’est aussi oser faire un tri dans son entourage et tenir tous ces gens toxiques loin de vous. De la même façon que vous avez le droit de dire « non » vous avez le droit de choisir les gens avec qui vous passez votre temps. Tant pis si les personnes concernées sont des connaissances de longue date ou des membres de votre famille. Libérez-vous de ce poids et faites la rencontre de gens positifs, capables de vous respecter et de vous apprécier à votre juste valeur.

Se faire respecter est un apprentissage indispensable pour vire en accord avec soi-même et avoir une relation harmonieuse avec les autres. Cela demande de faire des efforts et d’apprendre à se dépasser, mais procure une libération qui fait que le jeu en vaut la chandelle. Si vous avez du mal à vous faire respecter, gardez toujours à l’esprit ces 6 conseils et appliquez-les au quotidien :

  • aimez-vous et prenez confiance en vous,
  • sachez ce que vous voulez,
  • posez clairement vos limites,
  • restez calme, mais soyez ferme,
  • apprenez à dire « non »,
  • fuyez les personnes toxiques.

Comment ne pas se soucier de ce que pensent les autres de vous ?

ne-pas-se-soucier-des-autres1Avouons-le, il est difficile de ne pas se soucier de ce que pensent les autres.

En effet, l’homme est un être social vivant au sein d’un collectif qui impose des normes, qu’elles soient explicites ou implicites.

Ainsi, il lui devient complexe de faire des choix réellement détachés de ceux qui l’entourent, puisque les relations interpersonnelles composent sa vie quotidienne.

Pourtant, porter un intérêt disproportionné à l’avis des gens devient rapidement un obstacle à l’épanouissement ! Comment se libérer définitivement du regard des autres ? Découvrez-le dans cet article !

Développer son estime de soi

La différence entre estime de soi et confiance en soi 

 Beaucoup de personnes confondent estime de soi et confiance en soi. Ces deux notions comportent pourtant quelques nuances qu’il est important de définir. Avoir de l’estime de soi, c’est se sentir valable, tandis qu’avoir de la confiance en soi, c’est se sentir capable.

L’estime de soi parle donc de la manière dont une personne perçoit son identité et, par conséquent, sa légitimité. Tandis que la confiance en soi aborde plutôt le regard qu’une personne porte sur ses compétences à agir et réagir face aux diverses situations de la vie.

Rappelons cependant que l’estime de soi et la confiance en soi restent intimement liées. En effet, l’une influe sur l’autre, et vice versa. Quand on se sent valable, on a plus de facilité à se sentir capable. De même, quand on se sait capable, on arrive plus facilement à se penser valable !

Les conséquences du manque d’estime de soi 

 Le manque d’estime de soi, c’est à dire le fait de douter de sa valeur en tant que personne, fait également douter de son droit à penser, à émettre des opinions, et à faire des choix.

De cette manière, on en vient beaucoup plus facilement à s’accrocher à ceux des autres ! Le manque d’estime de soi implique inconsciemment d’imaginer que les autres savent toujours mieux que nous. Ainsi, le regard des gens qui nous entourent arrive beaucoup plus facilement à nous toucher.

Si vous apportez une grande importance à l’opinion d’autrui et si cette dernière vous fait facilement changer d’avis ou renoncer à vos choix, c’est probablement que vous manquez d’estime de vous ! En modifiant la perception profonde de votre personne, vous remarquerez rapidement un grand changement dans l’attention que vous portez au regard des autres.

Découvrir sa valeur 

Bien entendu, gagner en estime de soi n’est pas chose facile. Cette démarche est souvent longue, et nécessite de nombreux efforts et remises en question. Il s’agit généralement de passer par une phase introspective pour comprendre les origines du problème, et ainsi les modifier dans le présent.

Bien souvent, ces dernières remontent aux expériences vécues au cours de la petite enfance. Il sera nécessaire de démanteler en profondeur toutes les croyances limitantes que vous entretenez à votre sujet. De cette manière, vous pourrez, pour le dire en images, « réinitialiser » les paramètres indésirables de votre cerveau, et les reprogrammer d’une manière plus adaptée !

Dans cette démarche, plusieurs outils peuvent vous être utiles. Il est par exemple possible d’avoir recours à une thérapie cognitive et comportementale avec un psychologue. Pour ceux qui préfèrent se tourner vers les thérapies brèves, l’hypnose éricksonienne est particulièrement recommandée pour traiter les traumatismes.

En plongeant le corps dans un état de conscience modifié, elle vient couper certains liens automatiques effectués par le cerveau. Bien entendu, la liste n’est pas exhaustive, c’est à vous de trouver les solutions les plus adaptées à votre profil !

Être sur de ses choix 

En gagnant en estime de vous, vous constaterez rapidement un changement dans votre manière de percevoir le monde qui vous entoure. Vous ne ressentirez plus nécessairement le besoin de faire vérifier et valider vos idées ou vos choix par autrui. En effet, la confiance que vous aurez acquise en vos pensées vous permettra de vous suffire à vous-même.

Sachez cependant que nous vivons dans une société où la majorité des gens croient bon d’émettre des opinions sur la vie des autres sans y être nécessairement invités. Beaucoup d’individus utilisent le jugement comme bouclier de protection à la peur de ce qu’ils ne connaissent pas ou ne comprennent pas. Cette situation est bien entendu dommage, mais vous ne pourrez pas la modifier seul du jour au lendemain. Ainsi, soyez dans l’acceptation de l’état actuel des choses, et concentrez-vous principalement sur vous-même. Vous verrez qu’une fois votre estime de vous bien ancrée, ces attaques extérieures vous ébranleront considérablement moins.

Attention, cela ne signifie pas plus rien ne vous touchera. Il est humain de ressentir des sentiments tels que la tristesse, la colère ou la frustration. Cependant, la différence sera dans le fait que ces dernières ne vous effondreront pas. Vous aurez la force nécessaire pour continuer à avancer !

Accroître sa confiance en soi

Les conséquences du manque de confiance en soi 

 Quand on manque de confiance en soi, c’est-à-dire quand on ne croit pas en ses capacités dans l’action, on en vient à redouter particulièrement l’avis des autres sur ses actes. Face à ce mécanisme de pensée, plusieurs spirales infernales se mettent en place :

Tout d’abord, en pensant soi-même qu’on n’y arrivera pas, on engendre du stress et de l’anxiété. Ce stress et cette anxiété amoindrissent la mobilisation de nos compétences et aboutissent à un échec. Les réactions négatives des autres face à cet échec viennent renforcer nos craintes initiales, et cette situation se reproduira la fois suivante de manière encore plus intense.

Ensuite, le fait de se soucier de ce que pensent les autres pousse ces autres à nous mettre dans les situations que nous redoutons le plus. Être mal à l’aise se perçoit, notamment au travers du langage non verbal. Ces signaux inconscients sont une porte ouverte aux attaques extérieures.

Plusieurs mouvements spirituels disent d’ailleurs que la vie nous amène à vivre à répétition les situations qui appuient sur nos blessures dans l’objectif d’attirer notre attention sur ces dernières et de nous pousser à les soigner ! Vous l’aurez compris, plus vous portez une importance au regard des autres, et plus ce dernier sera présent et vous touchera. Moins vous portez une importance au regard des autres, moins ce dernier sera présent, et surtout, moins il impactera sur vous.

 Se sentir capable 

 Pour gagner en confiance en soi et ne plus se soucier de ce que les autres pensent, il est nécessaire de comprendre les origines de ce manquement. De la même manière qu’avec l’estime de soi, il sera probablement intéressant d’en chercher les causes dans la petite enfance.

Le manque d’estime de soi s’explique par des situations où l’on vous a dit ou fait sentir que votre valeur était moindre. Exemples : « ce n’est pas possible de toujours ramener de mauvaises notes, tu es nul ! », « arrête d’embêter ton frère, tu es méchant ! ». Le manque de confiance en soi, quant à lui, relève des situations où l’on a remis en doute vos capacités. Exemples : « laisse-moi faire, tu vas tout faire tomber ! », « ce n’est pas la peine, tu n’y arriveras pas, donne-moi ça ! ».

Il sera aussi important de vous forger de nouvelles expériences aux issues positives. De cette manière, votre cerveau enregistrera que vous pouvez y arriver, et osera plus facilement envisager les situations futures avec optimisme. S’il n’est pas facile de sauter le pas, sachez que des outils peuvent vous aider. Par exemple, l’hypnose ou la sophrologie permettent de visualiser mentalement ces situations aux dénouements positifs et de les intégrer à votre inconscient.

 Agir en toute sérénité 

 En modifiant profondément la perception de vos capacités, vous agirez de manière beaucoup plus sereine. Vos actions seront stables et fortes. Vous craindrez moins l’avis des autres à leur sujet, et vous les accomplirez avec plus de spontanéité, de détermination et d’assurance.

De cette manière, le regard des autres changera à son tour. Les gens ont tendance à moins oser dénigrer une personne qui a confiance en elle. Cette dernière suscite même parfois, à l’inverse, de l’admiration ! Bien entendu, échapper totalement aux critiques n’existe pas. Cependant, les jugements que vous subirez ne seront plus aussi à même de vous perturber !

Oser lâcher-prise

Comprendre le lien entre blessures et jugements 

Ne pas se soucier de ce que les autres pensent passe aussi par la compréhension des mécanismes qui se jouent dans les rapports humains. Il faut savoir que ce que les gens pensent et disent sur autrui en révèle plus sur eux-mêmes que sur le sujet en question !

La majorité des individus agissent de façon miroir. Cela signifie que, sans le savoir, ils traitent leur entourage de la même façon qu’ils se traitent eux-mêmes intérieurement. Par exemple, si vous rencontrez une personne particulièrement froide et intransigeante, il est fort probable que cette dernière manque avant tout d’amour et de tolérance envers elle-même.

Les gens ne sont pas seulement des coupables, mais avant tout des malades. Ils vivent avec leur enfant intérieur profondément blessé. De cette manière, ils perçoivent la vie et les autres au travers du prisme de leurs souffrances. Ce qu’ils perçoivent de vous n’est pas la réalité, mais le fruit de leurs propres projections, qui s’adaptent aux paramétrages spécifiques de leur cerveau.

Comprendre cet aspect caché de l’être permet de faire preuve de plus de compréhension, de bienveillance et de lâcher-prise. Vous savez désormais que vous n’êtes pas réellement la cible des attaques extérieures, mais juste un prétexte à extérioriser un manque dans un instant précis !

S’autoriser à recevoir ou non les critiques 

 Imaginez qu’un matin, le facteur souhaite vous livrer un colis indésirable qui n’est pas à votre nom, ou que vous n’avez jamais commandé, qu’allez-vous faire ? Le refuser, évidemment, ou tout au plus, le renvoyer à son véritable destinataire. Demandez-vous alors pourquoi vous acceptez chaque jour, sans faire le moindre trie, toutes les remarques négatives des gens que vous croisez ? La comparaison peut sembler curieuse, elle a pourtant lieu d’être !

Maintenant que vous savez qu’une critique engage plus son auteur que son destinataire, autorisez-vous à sélectionner avec rigueur celles que vous acceptez de recevoir ! Si une remarque vous paraît manquer de pertinence, ou être effectuée dans une intention malveillante, laissez-la tout simplement glisser à vos pieds, sans lui porter la moindre importance. En effet, si cette dernière n’a pas lieu d’être, c’est qu’elle ne vous est pas réellement destinée.

Si les autres sont libres de parler autant qu’ils le souhaitent, vous êtes libre de vous laisser toucher ou non par leurs paroles. Rappelez-vous en toutes circonstances que vous restez maître des éléments qui entrent dans votre sphère intellectuelle et émotionnelle ! En agissant de cette manière, non seulement vous vous évitez des tracas inutiles, mais vous gardez également votre temps et votre énergie pour les remarques extérieures véritablement constructives.

Comment avoir de la conversation ?

conseils-conversationAvoir toujours quelque chose à dire n’est pas naturel pour tout le monde.

Si certains maîtrisent parfaitement l’art du bavardage, d’autres ont plus de mal à trouver les mots justes pour communiquer.

Au travail devant la machine à café comme dans la file d’attente du boulanger, les gens parlent régulièrement de banalités.

En effet, les interactions sociales font partie intégrante de notre quotidien. Impossibles à fuir, elles relèvent de conventions implicites.

Si vous ne vous sentez pas à l’aise dans ces échanges verbaux, rassurez-vous, des solutions existent.

Découvrez dans cet article comment avoir de la conversation facilement en toutes circonstances !

Développer sa culture générale 

Pourquoi avoir de la culture générale ? 

Détenir une solide culture générale est un atout indéniable dans le domaine de la communication. Non seulement cela permet de comprendre toutes les allusions éventuelles de son interlocuteur, mais également d’avoir de la conversation. Il est important de bénéficier de connaissances sur des sujets divers, parce que les contextes d’échanges dans lesquels vous pouvez vous retrouver sont nombreux. Par exemple, au restaurant, certains vous parleront de la qualité du vin.

Tandis que chez le petit commerçant du coin, ce sera la problématique du mondialisme et ses conséquences sur les prix du marché qui seront abordées.Au supermarché, vous n’échapperez pas aux questionnements éthiques concernant les œufs de poules élevés en batterie toujours en rayons. Vous l’aurez compris, plusieurs thèmes peuvent vous prendre de cours, dans les moments où vous vous y attendez le moins.

Avoir toujours quelque chose à dire, c’est finalement être capable de rebondir en toutes circonstances sur les propos de son interlocuteur. Rassurez-vous, il n’est pas nécessaire de connaître sur le bout des doigts tous les sujets du monde. Cet objectif serait d’ailleurs inatteignable. Il suffit de prendre quelques thèmes majeurs et d’en comprendre les grandes lignes !

Acquérir des connaissances facilement 

Le support le plus commun en matière d’apprentissage est le livre. Si la lecture papier n’est jamais à mettre de côté, d’autres moyens plus modernes existent aujourd’hui pour gagner progressivement en culture générale. Tout d’abord, simplement en vagabondant sur les réseaux sociaux, privilégier les lectures d’articles constructifs plutôt que les publications insignifiantes. Contrairement aux idées reçues, ces plateformes virtuelles peuvent être de véritables mines d’informations sur de nombreux sujets.

Pour cela, il suffit de les utiliser intelligemment. De même, certaines applications mobiles offrent la possibilité de se cultiver de manière ludique. Des livres audio ou numériques sont également à votre disposition à moindre prix sur le Net. Enfin, de manière générale, profitez de tous les instants où vous n’avez rien à faire pour apprendre.

Il est idéal d’utiliser ces divers outils dans le métro, dans la salle d’attente du médecin, en se préparant le matin ou même aux toilettes ! Dans la journée, les occasions sont nombreuses pour grignoter des informations. Pour se motiver, et surtout garder le rythme, il est préférable de se fixer de petits objectifs faciles. Par exemple, lire un livre minimum par mois ou apprendre au moins une nouvelle donnée par jour.

Se tenir au courant de l’actualité 

Parfois, il ne faut pas chercher très loin. Les gens ont tendance à parler de ce qui se passe en ce moment. C’est normal. La majorité a accès aux mêmes médias. Ils sont ainsi plongés en même temps dans les mêmes événements. Il est alors capital de garder contact avec l’actualité pour ne pas rapidement vous sentir exclu des échanges collectifs ! Que ce soit par le biais de la télévision, du journal, de la radio ou du Net, prenez régulièrement connaissance de ce qui se passe dans le monde.

Qu’il s’agisse de nouvelles politiques, économiques ou sociales, il vous sera toujours possible de les aborder au détour d’une conversation. Attention cependant, certains terrains sont glissants. En effet, quand il s’agit d’un sujet qui fait polémique, il n’est pas rare de devoir affronter des divergences d’opinions. Si vous n’avez pas assez confiance en vous pour appuyer la vôtre, il vaut mieux s’abstenir. L’objectif n’est pas de vous mettre dans une situation délicate !

Être attentif au contexte 

Utiliser les éléments de son environnement

Un échange entre deux individus se situe toujours dans un contexte donné. Ce contexte peut devenir pour vous un appui à la conversation. Il permet de lancer des sujets sur lesquels l’interlocuteur pourra facilement rebondir. Par exemple, si vous parlez à quelqu’un dans une salle d’attente, vous pouvez aborder le fait que vous trouvez le nombre de chaises vraiment insuffisant. De même, si vous échangez avec votre voisin dans le hall de l’immeuble, vous pouvez relever que la nouvelle décoration des boîtes aux lettres est vraiment sympa.

Soyez imaginatif. Petite mise en garde : n’en faites pas trop non plus. S’il est tout à fait acceptable d’aborder quelques banalités pour créer du lien, il deviendra plus bizarre de vous voir vous passionner pendant une heure pour la couleur d’un autocollant. Vous l’aurez compris, tout se trouve dans la juste mesure.

Utiliser des éléments communs

Toujours dans la même idée, il faut trouver des sujets qui vous lient à l’interlocuteur. C’est à dire des choses pour lesquels vous auriez un intérêt commun évident. Exemple : vous échangez avec un collègue de travail et vous parlez de la prochaine réunion d’équipe. Bien souvent, le contexte dans lequel vous êtes amené à rencontrer la personne vous donne des indications sur les points communs qui existent entre vous. En faisant naître une accroche partagée, vous fluidifiez immédiatement la conversation.

Les langues se délient beaucoup plus facilement quand deux personnes partagent un sujet auquel elles attachent toutes les deux une importance. Si par hasard vous avez d’autant plus la même opinion que votre interlocuteur sur le sujet en question, c’est un avantage supplémentaire. En effet, les gens ont naturellement plus de sympathie pour ceux qui appuient leurs idées. Il ne faut cependant pas faire semblant d’approuver sans cesse votre interlocuteur. Restez authentique. Sinon vous risqueriez de passer pour quelqu’un qui n’a aucune personnalité.

Utiliser son interlocuteur comme support

Poser des questions

Avoir toujours quelque chose à dire nécessite parfois seulement une bonne observation de son interlocuteur et de ses propos. En effet, la majorité des gens apprécient parler d’eux, qu’il s’agisse de se confier ou de raconter leurs exploits. En leur offrant cette possibilité, vous vous épargnez de nombreux efforts de parole et d’imagination, et vous garantissez le bon déroulement de la conversation.

Pour commencer, il suffit de poser des questions à votre interlocuteur sur le premier sujet dont il vous parle. Peu importe si la réponse à ces questions vous intéresse réellement ou non. L’objectif est seulement de laisser l’autre combler les vides éventuels désagréables.

Écouter activement 

Une fois la question posée, l’interlocuteur va vous répondre plus ou moins longuement. Il reste cependant capital d’écouter, au moins globalement, ce qu’il vous raconte. Cela vous permettra par la suite de rebondir sur ses propos de manière adaptée. De même, lorsque vous écoutez, montrez à votre interlocuteur que vous êtes captivé par ce qu’il vous raconte.

N’hésitez pas à user du langage non verbal, par exemple en le regardant dans les yeux ou en hochant régulièrement la tête. Il est également possible d’user de petits mots tels que : « ah oui ? », « c’est pas vrai ?! », « d’accord. ». Ces derniers mettent l’interlocuteur en confiance et l’encouragent à continuer.

Reformuler les propos 

Enfin, la dernière étape de cette technique de communication est la reformulation. Trouver la bonne réponse à une longue tirade n’est pas chose facile. Plutôt que de vous embêter à chercher des idées complexes, retranscrivez simplement les propos de l’interlocuteur, mais avec d’autres mots. Faites, en quelque sorte, un résumé de ce qu’il vient de vous raconter.

Vous pouvez également poser des sentiments sur la situation qu’il a évoquée. Exemple : « si je comprends bien, la voisine qui devait nourrir ton chat pendant les vacances s’est désistée de dernière minute ? », « Tu devais te sentir vraiment en colère qu’elle t’ait fait faux bon. », « ça devait être particulièrement stressant de trouver quelqu’un dans l’urgence. ». En agissant de cette manière, vous vérifiez et vous validez le contenu de son message. Cette méthode, très largement utilisée dans le commerce, a fait ses preuves.

Gagner en confiance en soi

Dédramatiser la situation 

Pour terminer, rappelons que c’est lorsque nous sommes stressés que nous avons le plus de mal à converser. L’anxiété qu’engendre les interactions sociales provient généralement d’un manque de confiance en soi. Il est indispensable d’aborder la communication avec autrui plus sereinement pour obtenir de meilleures performances. Les personnes timides ont souvent l’impression qu’échouer dans un dialogue est dramatique.

Détendez-vous, ce n’est pas le cas. Sachez que la gêne engendrée par deux minutes de silence ou par un propos maladroit est peut-être au cœur de vos pensées toute la journée, mais oublié beaucoup plus rapidement que vous ne l’imaginez par l’interlocuteur. Cessez réellement de vous torturer avec vos échecs. Apprenez à vous acceptez tel que vous êtes. En lâchant prise sur cette obsession du perfectionnisme, vous deviendrez beaucoup plus spontané.

Ne plus craindre le regard des autres 

La peur du regard des autres est la cause première de vos difficultés à dialoguer. En effet, quand on manque de confiance en soi, on accorde une importance démesurée à l’avis d’autrui. En restant dans cette position, vous devenez à jamais esclave des gens qui vous entourent.

Votre bonheur ne dépend plus de vous, mais de ce que l’extérieur daignera vous apporter. Quel dommage ! Demandez-vous, quand bien même une ou plusieurs personnes émettraient un avis négatif à votre égard, qu’est-ce-que vous risquez concrètement ? La réponse est rien. Vous ne risquez rien. Libérez-vous de ce fardeau de vouloir plaire à tout le monde, et commencez enfin à être vous-même !

Comment méditer : un guide pour les débutants

comment-mediterIl est normal de se demander comment méditer quand on est débutant.

Pratiquer la méditation offre de nombreux bienfaits.

Pour les novices, il est cependant difficile de se lancer.

Afin de vous aider dans cette démarche, reprenons ensemble les bases et découvrons quelques techniques simples !

Qu’est-ce que la méditation ?

La méditation : démêler le vrai du faux 

Depuis quelques années, on parle beaucoup de méditation dans les milieux du développement personnel. Que ce soit dans les livres, les conférences, ou sur Internet, le sujet est traité partout. Certains professionnels se spécialisent même dans le domaine, en proposant des stages ou des cours individuels et collectifs pour apprendre à méditer.

Le problème, c’est que nombreuses de ces sources d’apprentissage coûtent chères ou ne sont pas adaptées aux débutants. Ainsi, grand nombre de personnes sont privées des bénéfices de la méditation uniquement par manque de connaissances. Certains en viennent même à développer des a priori négatifs sur le sujet, affiliant cette pratique ancestrale à une simple mode.

Si vous aussi, vous avez envie de méditer, mais que vous ne savez pas du tout comment vous y prendre, cet article est pour vous !

La méditation : définition 

Dans un premier temps, revoyons déjà la base. Concrètement, la méditation, c’est quoi ?

La méditation n’est pas quelque chose de complexe. La méditation désigne tout simplement une pratique mentale, philosophique et spirituelle. Elle consiste, entre autres, à porter toute son attention sur un objet de pensée intérieur ou extérieur.

Existant depuis la nuit des temps, cet exercice de l’esprit trouve son origine dans diverses cultures telles que l’hindouisme, le bouddhisme ou encore le jaïnisme. Il est même possible d’en observer des traces dans certaines branches de l’islam et du christianisme.

Qu’on se le dise, en réalité, il existe autant de façon de percevoir la méditation que d’êtres humains. Tout le monde ne médite pas pour les mêmes raisons ni de la même façon.

Pourquoi méditer ?

Malgré ces multiples divergences, toutes les études s’accordent sur les bienfaits de la méditation. En effet, il est aujourd’hui démontré que méditer comporte de nombreux avantages pour la santé.

Tous les énumérer demanderait évidemment des pages et des pages. Nous allons malgré tout en recenser quelques-uns, afin de vous offrir un aperçu rapide !

Les bienfaits physiques 

 Bien sûr, méditer détend le corps. Cette pratique permet de relâcher les muscles, de ralentir la respiration et de diminuer le rythme cardiaque.

Les études ont également constaté que pratiquer la méditation fait baisser physiologiquement le cortisol, l’hormone du stress. Ainsi, progressivement, l’organisme entre dans un état de relâchement et donc de bien-être.

Il est également démontré que méditer peut aider à combattre certaines douleurs physiques. En effet, des scientifiques ont remarqué, suite à une expérience, que la méditation atténuait les sensations douloureuses et leur impact sur le cerveau jusqu’à environ 40% !

Les bienfaits psychologiques 

 Les vertus de la méditation ne se limitent pas au corps. Elles touchent également largement l’esprit.

Méditer renforce la conscience de soi, et donc améliore la confiance et l’estime de soi. Cette pratique mentale est également un excellent moyen de diminuer l’anxiété, et d’apprendre à lâcher-prise comme à s’ancrer dans l’instant présent.

Pratiquer la méditation aide aussi à mieux gérer ses émotions, améliore la gestion du stress et réduit les pensées négatives. Il s’agit donc d’un excellent moyen pour apaiser ses rapports aux autres, et se sentir mieux dans sa peau au quotidien.

Les études tendent également à démontrer que la méditation augmente les capacités de concentration, stimule la mémoire et aide à lutter contre les dépendances.

Vous l’aurez compris, vous avez déjà mille et une raisons de pratiquer la méditation !

Peut-on méditer partout ?

La méditation est accessible à tous

Quand on dit le mot « méditation », les gens imaginent souvent un grand sage en position lotus, les yeux fermés, enfermé dans un monastère silencieux. La réalité est pourtant bien éloignée de ce cliché. Elle va même probablement vous étonner : tout le monde peut méditer partout !

Non seulement la méditation n’est pas réservée à une petite poignée de privilégiés, mais il est également possible de la pratiquer en toutes circonstances. Pour méditer, il n’est pas nécessaire de mener une vie parfaite ni d’être quelqu’un de religieux ou spirituel ! Aussi surprenant que cela puisse paraître, vous pouvez méditer dans votre chambre, au sommet d’une montagne comme dans le métro.

En effet, la méditation est avant tout un état intérieur. Elle ne dépend nullement de ce qui se passe autour de vous, mais uniquement de ce qui se passe en vous ! Autrement dit, vous en êtes pleinement le maître du jeu, et les paramètres extérieurs ne devraient pas entrer en ligne de compte.

Quel est le « meilleur » lieu pour méditer ? 

Bien entendu, quand on est débutant, il est généralement plus facile de méditer dans un endroit calme. Tout simplement parce qu’en tant que novice, vous aurez parfois plus de mal à vous concentrer dans un lieu avec beaucoup de mouvements et de bruits.

Cependant, certaines personnes, même inexpérimentées, arrivent à faire le vide en collectivité. Nous avons tous certaines situations plus propices que d’autres à un voyage intérieur.

Prenons quelques exemples simples : ne vous est-il jamais arrivé de marcher tout en étant entièrement plongé dans vos pensées… au point où vous êtes arrivé à destination avec l’impression de ne pas avoir vu passer le temps, ni d’avoir réalisé tout ce qui se passait autour de vous ? De même, ne vous êtes-vous jamais surpris, quand vous étiez plus jeune, à rêver en classe au point de ne pas avoir entendu un seul mot de ce que disait votre professeur ? Pourtant, dans toutes ces situations, vous étiez dans un milieu collectif !

Beaucoup de situations du quotidien témoignent qu’il est entièrement possible d’être dans l’introspection, même au milieu d’une foule. Ainsi, ce qui importe, ce n’est pas le lieu en lui-même, mais le lieu dans lequel vous, vous vous sentez bien !

Le lieu propice à la méditation est donc propre à chacun. Il faut écouter vos ressentis, et non chercher à imiter les autres ou à vous calquer sur une méthode unique. Osez faire confiance à votre esprit, laissez-vous guider par vos émotions, et écoutez votre intuition !

Trouver la bonne position pour méditer

S’installer confortablement 

Exactement comme pour le lieu, la position de méditation est personnelle. Il n’existe pas de règles précises pour savoir comment méditer correctement.

Il est possible de méditer couché, assis ou debout ! Une nouvelle fois tout dépend du contexte dans lequel vous méditez, comme de la manière dont vous vous sentez à l’aise.

Oui, vous l’aurez compris… il faut se sentir bien ! La bonne position est avant tout celle dans laquelle vous êtes confortable. Plus votre corps est bien, et plus votre esprit est apte à s’évader.

La position du lotus 

 Évidemment, il existe certaines positions de méditation très connues. Ces dernières n’ont absolument rien d’obligatoire. Elles ne sont pas indispensables pour méditer. Cependant, certaines bénéficient, selon les croyances, de vertus méditatives.

Parmi elles, il y a la position du lotus. La position du lotus consiste à s’asseoir en tailleur, le dos droit, les genoux au sol et le dessus des pieds posés sur les cuisses opposées. En position lotus, la position des mains varie en fonction des pratiques.

La position lotus est pratiquée depuis de longues années dans les cultures occidentales. Ses adeptes lui prêtent de nombreux bienfaits physiques, psychologiques et spirituels. On dit qu’elle permet une meilleure circulation de l’énergie en évitant les points de fuite. La position lotus favorise également l’ancrage et la concentration. Elle permet aussi de dénouer les tensions corporelles.

Attention cependant, la position lotus demande une certaine souplesse. Il est donc souvent nécessaire de s’y préparer au travers d’exercices d’étirement.

Comment méditer en position lotus quand on est débutant ? Il est possible de commencer par le semi-lotus ! Plus simple, cette position vous permettra d’acquérir progressivement la technique du lotus et d’y habituer votre corps en douceur.

Échapper aux pensées parasites

Penser à ne pas penser… mauvaise idée ! 

Pour méditer efficacement, il est important de faire le vide et de pleinement lâcher-prise. Bien entendu, il n’est pas facile, surtout pour un débutant, d’échapper à son mental.

Avez-vous remarqué que si je vous dis de ne pas penser à une girafe, vous allez immédiatement visualiser cet animal ? Ainsi, si je vous dis de ne pas penser tout court… vous allez également penser deux fois plus ! Rien que l’idée de ne pas devoir penser vous fait déjà réfléchir.

La solution pour vaincre les pensées parasites n’est donc pas de les combattre, au risque de les accentuer. Il s’agira simplement de les laisser vous traverser, de la manière la plus neutre possible.

Être dans l’acceptation 

Beaucoup de gens culpabilisent de ne pas réussir à maîtriser leurs pensées. Ils portent donc un jugement négatif sur ce qui est en train de se passer. De cette manière, ils se focalisent sur ce qu’ils voudraient fuir, et le renforcent au lieu de l’atténuer.

De même, ils accentuent leur manque de confiance en eux à travers un sentiment d’impuissance. Ils vont donc mal vivre leur méditation et ne renouvelleront pas l’expérience par peur de l’échec.

Sachez que pour éviter ces fâcheuses conséquences, il est préférable d’être dans l’acceptation. Acceptez tout simplement ce qui est en train de se produire. Même si tout ne se déroule pas comme vous l’auriez voulu, ce n’est pas grave ! Apprenez à dédramatiser les choses.

Placez-vous dans la peau d’un observateur extérieur. Vous devenez celui qui regarde sans jugement. Vous découvrez juste ce qui est en train de se passer, sans lui attitrer une valeur positive ou négative. Laissez-vous spontanément guider par le cours du temps.

Se recentrer ici et maintenant

03Se reconnecter à ses sensations 

Si vous vous demandez comment méditer concrètement, accrochez-vous à vos sensations corporelles. Se focaliser sur les ressentis de son corps est une excellente base pour débuter un exercice méditatif.

Passez mentalement en revue chaque partie de votre corps, que ce soit du haut vers le bas ou du bas vers le haut. N’oubliez aucun détail, même les orteils ou les paupières ont leur importance !

Quand vous vous focalisez sur une partie du corps, demandez-vous seulement ce que vous êtes en train de ressentir. Par exemple, sentez les picotements dans vos mains, l’humidité de vos lèvres ou encore la chaleur au bout de vos doigts.

Ensuite, détendez chacune de ces parties physiques. Tout doit un à un se décrisper. Votre corps devient de plus en plus lourd, et de moins en moins sensible, comme si vous vous en détachiez.

S’aider de méditations guidées 

Sachez que pour pratiquer cet exercice, il est plus facile de se laisser guider par une voix extérieure. Ainsi, n’hésitez pas à vous tourner, dans un premier temps, vers les méditations audio. Ces dernières pourront, au début, être un support intéressant pour canaliser votre esprit.

Il existe de nombreuses méditations audio disponibles gratuitement sur Internet. Vous pouvez, par exemple, en trouver sur des sites tels que YouTube.

Cependant, ne choisissez pas au hasard. Comme pour tout le reste, il faut vous sentir à l’aise. La voix qui va vous guider doit vous procurer de l’apaisement. Ainsi, n’hésitez pas à tester plusieurs vidéos avant de trouver celle qui vous correspondra le mieux !

Comment devenir plus discipliné ?

devenir-plus-disciplineCette fois c’est décidé, vous allez tenir vos engagements !

Combien de fois avez-vous répété cela sans pouvoir vraiment y arriver ? 1, 10, 100 voire 1000 ?

Aujourd’hui, c’est terminé !

Vous allez enfin pouvoir tenir vos engagements grâce à une méthode simple en 7 étapes pour devenir plus discipliné.

Devenez dès maintenant un as de l’autodiscipline.

Pourquoi être plus discipliné ?

L’esprit humain fonctionne de manière logique. Aussi, avant de pouvoir vous astreindre à une certaine discipline, il faudra enseigner à votre cerveau les raisons pour lesquelles il doit atteindre cet objectif. Si votre mental ne comprend pas le comment du pourquoi, vous ne pourrez pas réussir à vous autodiscipliner. Alors, pourquoi faut-il être discipliné ?

Un adage populaire dit : « les bonnes intentions sont des chèques sans provision ». Cruel, cet adage est pourtant assez réaliste. En manquant d’autodiscipline, vous manquez également un grand nombre de possibilités qui se présentent à vous. C’est dommage, mais pas irrémédiable !

L’autodiscipline représente donc une véritable qualité de vie. Ceux qui parviennent à la maîtriser et à la suivre sont généralement aussi ceux qui parviennent à réaliser le mieux leurs ambitions et leurs rêves. En clair, les personnes qui pratiquent assidûment l’autodiscipline sont celles qui avancent le mieux dans la vie, pendant que les autres stagnent et sombrent généralement dans l’échec.

En bref, on pourrait dire qu’être discipliné est une condition sine qua non pour arriver à la réussite.

Une méthode simple en 7 étapes

Pour ceux qui n’y sont pas habitués, l’autodiscipline peut sembler être un obstacle infranchissable. Pourtant, loin des gourous tyranniques, il existe une méthode simple en 7 étapes qui vous permettra d’acquérir, petit à petit, cette compétence si précieuse. Explications.

Étape 1 : modifiez votre manière de penser

S’astreindre à l’autodiscipline n’est pas différent des autres bonnes résolutions. Pour parvenir à la tenir, il faut y voir des avantages et non pas des contraintes.

L’esprit humain est ainsi fait qu’il répond plus favorablement à la récompense qu’à la réprimande. Pour qu’il parvienne à opérer et à tenir un changement, il faut que celui-ci ait du sens. Vous devez donc présenter votre changement ou votre bonne résolution à votre esprit en lui vantant les avantages.

Il s’agit ici un peu de vendre l’idée comme vous vendriez une voiture ou un électroménager. Vous ne devez pas voir les contraintes comme le prix, la difficulté de parking pour un gros bolide ou encore les dépenses exorbitantes en essence, mais plutôt présenter les avantages comme la beauté du modèle, la sécurité sur la route ou encore la résistance dans le temps.

En ce qui concerne l’autodiscipline, votre esprit ne doit pas y voir les côtés ennuyeux comme une restriction de liberté, une tâche déplaisante ou une perte de temps. Au contraire, votre esprit doit percevoir les avantages que vous allez en tirer comme une meilleure organisation, une diminution du stress ou encore du temps à passer avec vos amis.

En bref, votre manière de penser doit passer de la contrainte aux avantages.

Étape 2 : soyez réaliste

On ne devient pas discipliné du jour au lendemain. Nul n’est besoin de vous mettre la pression afin de réaliser un nombre extravagant de tâches. Tout comme les bonnes résolutions, vous n’y arriveriez pas. Et c’est normal ! Personne ne nait discipliné, il s’agit d’un apprentissage qui doit se faire petit à petit.

Tout comme vous n’allez pas dire, je dois perdre 10 kg dans la semaine lorsque vous commencez un régime, vous n’allez pas non plus décider d’être parfaitement autodiscipliné dans la journée lorsque vous commencez à pratiquer cette organisation.

Vous devez commencer par de petites résolutions, c’est-à-dire de petites séquences d’autodiscipline.

Si vous souhaitez appliquer cela dans un cadre professionnel, vous devez par exemple identifier le moment où le manque de discipline est le plus préjudiciable pour vous. Vous allez ensuite y intégrer des séquences d’autodiscipline d’une dizaine de minutes maximum axées sur des tâches simples.

Lorsque celles-ci ne vous paraîtront plus être des contraintes, vous pourrez progressivement allonger le temps et diversifier les tâches. Votre esprit aura intégré l’autodiscipline et sera à même de l’accepter.

En bref, allez-y doucement sur vos objectifs. L’autodiscipline se construit petit à petit.

Étape 3 : soyez organisé

L’organisation est la clé de voûte de bien des secteurs du développement personnel. Elle est indispensable pour gérer correctement son temps, mais également ses activités. Un incontournable donc dans le domaine de l’autodiscipline.

Pour être organisé, réaliser une liste de tâches est sans doute le plus pratique. Vous pouvez noter cette différente chose à faire sur une feuille de papier, un téléphone intelligent ou encore dans certains programmes informatiques comme le célèbre « trello ». Quel que soit votre choix de support, le mécanisme reste toujours le même.

Pour commencer en douceur, inscrivez chaque matin 5 choses à faire dans votre liste. Chaque fois que vous aurez effectué une des tâches, vous la bifferez, vous en changerez de couleur où vous ferez une remarque, quelle qu’elle soit afin que vous sachiez que vous avez réalisé cet objectif.

Cette façon d’agir vous permet d’avancer dans 2 optiques différentes. D’une part, vous dégagez votre esprit de la liste des tâches à faire, et d’autre part, vous les réalisez sans pression.

En bref, réaliser des « to do list » pour atteindre vos objectifs.

Étape 4 : sachez vous récompenser

L’esprit humain fonctionne mieux à la récompense qu’à la réprimande. Vous devez donc voir vos succès plutôt que vos échecs.

Lorsqu’une tâche est terminée, il est normal de se sentir soulager. C’est une réaction commune et salutaire pour l’esprit. Cependant, il devrait être également habituel de se récompenser non seulement pour l’objectif atteint, mais également pour le respect de la discipline. En effet, si vous avez réalisé une tâche en temps et en heure, il est normal de signaler à votre cerveau que vous avez apprécié son autodiscipline.

En pratiquant ainsi la récompense, votre cerveau associera l’autodiscipline au plaisir. Il sera donc plus enclin à s’y adonner de façon mécanique et répétitive.

Étape 5 : modifiez votre perception

Pour que votre cerveau accepte votre nouvelle organisation, il ne doit pas percevoir l’autodiscipline comme une contrainte. Au contraire, il doit apprécier cette méthode comme une sorte d’édification personnelle.

Les stéréotypes qui circulent sur les personnes autodisciplinées sont grotesques et généralement erronés. Ils vous donnent une vision tronquée de la réalité et vous offrent des perspectives très limitées.

Vous devez sortir de ces images pour comprendre combien l’autodiscipline est une chance pour édifier votre personnalité. Elle vous permet de forger une nouvelle image de vous-même dans laquelle votre personnalité est bien mieux perçue par votre esprit. Vous devenez pour lui la référence en matière de respect et d’accomplissement d’objectifs.

L’autodiscipline doit devenir pour vous une manière de vous sublimer et de développer votre personnalité.

Étape 6 : soyez persévérant

L’esprit, tout comme le corps, peut se montrer réfractaire au changement. Il s’agit d’une étape de résistance normale qui peut être vaincue, assez facilement, avec la persévérance.

Au début de l’application de ce plan en 7 étapes, votre volonté devra être inébranlable pour faire face aux forces internes qui vont s’opposer à votre processus de changement. Celles-ci craignent, en effet, que les changements leur soient préjudiciables. Il faudra donc faire preuve de persévérance pour parvenir à repousser ses forces.

Ne vous effrayez cependant pas, car vous aurez également un allié. La force de l’habitude deviendra, au fil du temps, votre meilleure amie. En effet, lorsque vous répétez une action, encore et encore, votre corps et votre esprit commencent à la réaliser de manière quasi automatique. Vous pourrez donc, au bout de quelque temps, intégrer le changement désiré à vos habitudes.

Acceptez les résistances internes et montrez-vous persévérant pour intégrer l’autodiscipline à votre quotidien.

Étape 7 : soyez créatif

L’autodiscipline fonctionne également sur le principe de l’autosuggestion douce. Il vous faudra donc parvenir à intégrer le message d’autodiscipline dans votre inconscient.

Il existe diverses formes d’autosuggestion. La plus populaire est celle de la méthode Coué qui vise à répéter inlassablement la même phrase. Si cette manière de procéder vous convient, vous pouvez parfaitement l’adopter.

Il est également possible d’opter pour la méthode des post-its. Pour ce faire, il faut inscrire la bonne résolution d’autodiscipline sur plusieurs post-its et les coller dans les endroits stratégiques que vous fréquentez. Votre bureau, votre salon, votre chambre et peut-être même vos w.c. sont des lieux privilégiés pour ce type d’auto motivation. À force de relire et relire la phrase, elle s’intégrera à votre esprit.

Créer des stratégies d’autosuggestion pour ancrer l’autodiscipline dans votre inconscient.

L’autodiscipline est fondamentale pour atteindre ses objectifs et réaliser ses rêves. Nous vous offrons une méthode simple, pas à pas, pour atteindre en douceur la capacité à être perpétuellement discipliné.

N’oubliez pas que, au-delà de la contrainte, l’autodiscipline est une composante essentielle de votre réussite dans la vie. Ne lésinez donc pas sur les moyens mis en œuvre pour y arriver. Avec de la bonne volonté et de l’organisation, l’autodiscipline est à la portée de tous.

7 manières simples de repérer un menteur

reperer-un-menteurIl existe une multitude de critères utile pour repérer un menteur, car il est évident que trop de gens mentent tout le temps.

Pour de nombreuses raisons, un proche, un ami, un camarade, ou même un inconnu peuvent vous mentir.

Ils peuvent vous mentir soit pour s’excuser, soit pour éviter des problèmes ou encore pour vous impressionner.

Mais, quelle que soit la raison, il est parfois très difficile de s’en rendre compte.

Surtout lorsqu’ils savent comment s’y prendre pour vous dire la vérité et au pire des cas, quand il s’agit d’un de vos proches.

Si vous cherchez comment être sûr des propos d’une personne, sachez qu’il existe de nombreuses techniques qui pourraient vous aider à repérer ces mensonges.

Nous vous proposons donc 7 manières simples, efficaces, et très pertinentes qui pourraient vous aider à repérer un menteur.

Le regard

Le regard de celui que vous suspecter de mensonges est l’un des signes les plus évidents à repérer. En effet, d’une manière générale, le regard d’un menteur est très évasif, il regarde partout, mais nulle part. Il évite votre regard, et trouve toujours des diversions lorsqu’il constate que vous le regardez attentivement. Il cherche toujours à vous lancer des regards quand il pense que vous ne l’observez pas pour étudier vos faits et gestes.

Si c’est le cas, commencer à vous poser des questions sur ce qu’il vous raconte. Car, il pourrait en effet être en train de vous mentir.Cependant, certaines personnes ont poussé l’art du mensonge à un niveau où, ils sont capables de vous mentir en vous fixant droit dans les yeux. Dans ces cas, basez-vous sur d’autres critères pour vous rassurer.

La voix

Lorsque la personne avec laquelle vous causez adopte une voix plus basse que d’habitude et surtout semble être hésitante, ce sont des signes flagrants que la personne avec laquelle vous causez ne vous dit pas la vérité. D’autres signes peu naturels chez elle par exemple le faite qu’elle bégaie quand vous causez alors que normalement ce n’est pas le cas est un signe qui devrait attirer votre attention.

Si c’est un inconnu, étudier les variations de sa voix est un bon moyen de vérifier s’il vous trompe. Un individu qui vous dit quelque chose de vrai le plus souvent ne tâtonne pas, il est sûr de ce qu’il avance par conséquent,sa voix reste régulière tout au long de votre conversation. Même sous la pression de vos questions, il serait difficile de l’entendre balbutier.

Posez des questions inattendues et analysez

Les questions difficiles ou imprévisibles vous permettent de repérer facilement un menteur. Ici il est très important de prendre son temps et de suivre avec beaucoup d’attention l’histoire que la personne vous raconte.

Vous devez analyser mot par mot chacune de ses phrases pour y déceler une faille,un détail louche ou agaçant. Si vous vous rendez compte d’un détail incohérent,surtout n’hésitez pas à lui poser des questions. En fonction de sa réaction face à la question posée, il vous sera déjà possible de déduire si la personne vous ment.

Par exemple, si elle se met sur la défensive en se vexant à cause de votre question ou en vous répondant par des balbutiements, alors, il est fort probable qu’elle ait monté son histoire de toute pièce pour de nombreuses raisons comme vous impressionner, s’excuser, ou vous éviter. Surtout, évitez de lui poser des questions dont les réponses sont évidentes.

Prenez votre temps et analysez bien ces propos afin de lui poser des questions qui sèmeront la confusion dans son récit.Vous pourrez déceler un éventuel mensonge.

L’incohérence

Il est difficile, voire même impossible pour quelqu’un qui vous ment, de rester très cohérentdans l’histoire qu’elle vous raconte. Quel que soit son talent dans ce domaine, il est possible de repérer un menteur, car il aura toujours tendance à parler de chose très difficile à réaliser.

Un menteur manque à certains moments de logique dans ces récits, il a tendance à mélanger ce qui peut être réel à des évènements qui sont purement et simplement fictifs. Si vous lui demandez par exemple de vous raconter pour une deuxième fois la même histoire, il cherchera à trouver une diversion pour ne pas avoir à vous raconter à nouveau ses mensonges.

Tout ceci par ce qu’il sait que s’il reprend son histoire, il y aura beaucoup de détails qu’il a cités la première fois qu’il ne pourra plus vous citer à nouveau. Bref,il oubliera par exemple qu’au premier récit il avait dit « son camarade de service est venu lui rendre visite après le départ de sa fiancée » et lorsqu’il vous raconte pour une seconde fois, il dit plutôt « son camarade de service est venu lui rendre visite avant l’arrivée de sa fiancée ». Ce type de détail est une preuve simple et claire que la personne vous ment.

Mémoire défaillante

Très souvent, pour savoir comment piéger un menteur, il est possible de se baser sur les souvenirs des histoires qu’il vous a racontées. Par exemple si vous lui demandez de vous raconter de nouveau une histoire qu’il vous avait racontée quelques semaines avant. Il lui sera très difficile de vous la réciter avec tous les détails et les passages de la première fois.Il va oublier de mentionner de nombreuses scènes qui étaient citées la dernière fois et sera dans la confusion totale.

Dans le plus pire des cas, le menteur pathologique refusera de vous la raconter de nouveau en cherchant une diversion ou en changeant de sujet.Si vous insistez, il cherchera à jouer les innocents ou même à vous faire culpabiliser de votre manque de confiance en lui. Sachez qu’une histoire réelle et surtout vécue reste gravée dans la mémoire et ceci en dépit du temps.

Chaque détail reste dans la tête comme si on le revivait chaque jour. Ce qui est tout le contraire d’une histoire fabriquée qui s’oublie quelques minutes seulement après avoir été raconté.

Dans certains cas, il est préférable lorsque quelqu’un vous raconte des histoires et que vous en doutiez, de ne pas immédiatement l’interpeller. Si vous vous demandez comment piéger un menteur, garder vos doutes et vos questions au chaud, patienter quelques jours avant de lui poser vos questions par exemple« tu te souviens de ce que tu m’avais dit, rappel moi s’il te plaît la couleur du chapeau qu’il portait ? ». S’il prend beaucoup de temps pour essayer de se souvenir de ce détail, ne doutez plus c’était un mensonge.

Trop de détail

Lorsqu’une personne vous raconte des histoires qui sont fausses, elle a bien souvent tendance à vouloir vous détailler chacun des paramètres avec beaucoup de soin et une grande précision. Elle citera les formes et les couleurs, les scènes et même les lieux.

Toute cette haute précision a pour but de rendre son histoire plus crédible à vos yeux. Par exemple si vous demandez à quelqu’un où était-il, sa réponse ressemblera à peu près à ceci « j’étais au supermarché pour acheter un peu de lait et des épices, j’ai même failli acheter du jambon, mais j’ai été attiré par des remises sur des paquets de sucre et j’ai rencontré en sortant mon ancien prof d’écologie… »

Pour savoir comment reconnaitre un menteur en amour ou dans d’autres domaines, tous ces détails pour une question très simple lorsque la personne n’est pas de nature volubile devraient attirer votre attention.

De plus, l’excès de détail dans une histoire lorsqu’elle est fausse fait bien souvent penser à un écrivain ou un producteur de cinéma.Car celui-ci prend grand soin d’arranger chaque détail de son film pour mieux captiver l’attention de son public. Ceci dans le but de vous faire voyager dans son monde imaginaire. Alors, dans des cas pareils, posez-vous des questions.

Le stress

Lorsqu’un individu vous ment, il a toujours tendance à être stressé. Il reste peu en place, comme s’il cherche une position plus confortable. Il se lève, s’assoit, s’étire, parce que sa conscience le juge sur l’acte qu’il pose.

Cette culpabilité intérieure est si lourde qu’il a beaucoup de mal à rester sur place, il gesticule énormément et évite d’attirer votre attention sur son comportement. Si la personne en question est un proche, il aura tendance à devenir bizarre lorsqu’il commencera à vous mentir.

Il est difficile pour un menteur de rester serein sauf s’il s’agit d’un menteur pathologique, car comme on le dit, le mensonge est un fardeau difficile à porter pour de nombreuses personnes. Si celui que vous soupçonnez de mensonge est fragile, il se pourrait qu’il laisse ses émotions lui dicter sa conduite. Par conséquent, il est susceptible de trop tourner au tour de vous et de ne pas tenir en place.

En outre, il existe beaucoup d’autres techniques pour comment détecter un menteur vraiment très efficace pour détecter les personnes lorsqu’ils mentent. Par exemple, ils affichent de fausses émotions (un faux sourire ou même de fausses larmes), son comportement peut changer, les micros expressions, et même des postures particulières (se cacher derrière des objets, sembler être subitement pressé).

Un clignement des yeux un peu excessif est un signe involontaire qu’envoie le cerveau pour signaler un problème. Il est donc très facile en utilisant toutes ces méthodes variables et surtout très efficaces de démasquer ces personnes qui trahissent votre confiance en vous mentant. Alors, soyez très attentif à ces signaux qui sont très souvent évidents à repérer.

6 façons de lutter contre la dépression

lutter-contre-la-depressionLutter contre la dépression est un combat de chaque jour.

En effet, être dépressif se caractérise par une grande tristesse et un sentiment de désespoir non explicable.

Véritable maladie, la dépression peut avoir, sur le long terme, des conséquences dramatiques chez les individus qui la subissent.

Si le problème de la dépression doit être traité en profondeur, il existe en parallèle quelques moyens simples de s’aider au quotidien. Découvrez dans cet article 6 manières de sortir de la dépression !

 1 – Miser sur une alimentation saine

 Éviter les produits transformés

Notre hygiène de vie impacte grandement sur notre état d’esprit. Opter pour une alimentation saine est indéniable une démarche indispensable au bien-être. En effet, les aliments que nous mangeons ont des conséquences aussi bien physiques, psychologiques qu’énergétiques. Pour le corps comme pour l’esprit, il est donc capital d’éviter les produits alimentaires néfastes.

Parmi ces derniers, on retrouve en première place les produits industriels et transformés. Ces derniers ont été remaniés à outrance par l’humain au travers des procédés tels que le pressage, le broyage, le raffinage, le concassage ou encore la pulvérisation. Ces faux aliments ont pour objectif d’être peu chers, agréables au goût et faciles à préparer, mais au détriment de leur qualité !

Très éloignés de leur forme originelle, les produits transformés ne conviennent pas aux besoins du corps humain, et pire encore, sont mauvais pour la santé. Ils contiennent d’autant plus très souvent des traces de substances nocives telles que des colorants, des conservateurs ou des additifs.

De récentes études tendent d’ailleurs à démontrer que la consommation régulière de produits transformés serait un facteur de risque concernant la dépression. Pour combattre la dépression, il est donc préférable d’éviter ce type d’aliments ! N’hésitez pas à opter plutôt pour les fruits et légumes frais, ou encore les céréales complètes et les oléagineux sans sel ajouté.

 Faire le plein de tryptophane

La sérotonine est ce qu’on appelle communément « l’hormone du bonheur ». Elle participe activement à l’équilibre de l’humeur chez l’être humain. Chez certaines personnes, la dépression peut être due à une carence en sérotonine !

Ce neurotransmetteur est produit par le cerveau et l’intestin. Elle résulte de la conversion biochimique du tryptophane. Le tryptophane est un acide aminé que l’on retrouve dans certains aliments. Pour augmenter son taux de sérotonine, il est donc recommandé de consommer des produits riches en tryptophanes. Parmi eux, on retrouve le soja, les noix de cajou, les amandes, la levure de bière, les cacahuètes ou encore le melon !

 2 – Garder du temps pour soi

 S’offrir au moins un plaisir par jour

Notre société productiviste nous pousse sans cesse à vivre à un rythme effréné. Au travers la terrible routine métro-boulot-dodo, il reste peu de temps pour s’occuper de sa personne. Pourtant, garder du temps pour soi est indispensable au bien-être. Le retour à soi permet réellement de se développer personnellement et de devenir chaque jour une meilleure version de soi même.

Sans culpabilité, autorisez-vous à vous faire plaisir, et ce au moins une fois par jour ! Qu’il s’agisse de manger un bon plat, de regarder votre film préféré, de vous plonger dans votre livre favori ou simplement de vous allonger sur un lit et rêvasser, faites-le. Ces moments qui paraissent, au premier abord, inutiles sont en réalité très importants pour diminuer le stress et reprendre des forces.

Attention, quand on dit, prendre soin de soi, ce n’est pas avaler un pain au chocolat en deux deux en gardant un œil sur les enfants qui se chamaillent ! Se faire plaisir c’est avant tout s’accorder un instant réellement rien qu’à soi. Déconnectez totalement de votre environnement ! Le cerveau doit pleinement lâcher-prise, et ne plus être en vigilance permanente.

  Utiliser des méthodes de relaxation

Pour se détendre efficacement, plusieurs méthodes peuvent vous aider. Parmi ces derniers, on retrouve, par exemple, le yoga, la méditation, l’hypnose ou encore la sophrologie. Ces différentes disciplines permettent non seulement de se détendre physiquement et psychologiquement, mais offrent également à celui qui les pratique de nombreuses autres vertus.

Malgré leurs différences, elles apprennent à se recentrer sur l’instant présent et de lâcher-prise ; deux performances indispensables au bonheur dont nous manquons affreusement aujourd’hui !

Elles seront également l’occasion de travailler sa visualisation mentale, son ancrage terrestre et sa connaissance de soi. Au travers certaines d’entre-elles, vous pourraient aussi agir en profondeur sur certains blocages inconscients qui vous empêchent de vous épanouir aujourd’hui.

3 – Pratiquer une activité physique

Les bienfaits du sport

C’est bien connu, pratiquer une activité sportive est bon pour le corps, mais aussi pour le moral ! En effet, lorsque nous fournissons un effort physique, nous sécrétons de l’endorphine. L’endorphine est une hormone que l’on pourrait qualifier d’antidépresseur naturel. Elle génère un réel état de bien-être et d’apaisement. Faire du sport est donc excellent pour lutter contre la dépression.

Le sport est également connu pour accroître la confiance en soi, diminuer le stress, réduire l’anxiété, développer ses capacités mentales et apprendre à se dépasser. Faire du sport permet également de se défouler et d’extérioriser ses émotions. Il s’agit donc d’un excellent moyen de canaliser son énergie ! Tous ces bienfaits peuvent également aider à combattre la dépression. De manière générale, le sport vous permettra un meilleur équilibre mental !

 Trouver la bonne activité sportive

Il n’est pas nécessaire d’avoir des compétences physiques exceptionnelles pour pratiquer un sport. Le but n’est pas de faire de la compétition de haut niveau, mais simplement de prendre plaisir à une activité, et de s’observer évoluer progressivement dans cette derrière.

Entre footing, natation, fitness, danse, gymnastique, marche, boxe, judo ou encore karaté, le choix est large, et il y en a pour tous les goûts. Chacun peut trouver l’activité sportive la plus adaptée à ses besoins ! De même, il est possible de pratiquer seul, comme en groupe.

Encore une fois, la décision dépendra de vos attentes et de votre budget. Sachez cependant que, dans le cadre de cours collectifs, le sport est aussi vecteur de lien sociaux. C’est l’occasion idéal de faire de nouvelles rencontres !

4 – Continuer à voir du monde

 S’entourer de personnes bienveillantes

Quand on déprime, on a tendance à s’isoler. Pourtant, se couper du monde n’est pas la bonne solution. En se renfermant sur soi, on entre rapidement dans une véritable spirale infernale. Moins vous voyez de gens, plus vous déprimez, et plus vous déprimez, moins vous avez envie de voir de gens ! Face à la dépression, il est au contraire capital de s’aérer l’esprit. Se plonger dans le dynamisme des rapports humains oblige justement à rester intérieurement vivant.

Cependant, il est compréhensible que la vie sociale apparaisse difficile quand on est dépressif. En effet, les relations interpersonnelles demandent indéniablement de l’énergie. Il est cependant possible de réduire ce « coût énergétique » en choisissant bien ceux que vous allez côtoyer.

Ne restez pas avec n’importe qui ! Tournez-vous vers des personnes véritablement bienveillantes en qui vous avez confiance. Non seulement cela vous évitera de devoir porter un masque en faisant une bonne figure, mais ce sera également l’occasion d’obtenir un soutien extérieur.

Sachez que pouvoir confier sa souffrance est déjà un moyen d’alléger vos charges mentales. De même, se savoir aimé tel que vous êtes est un moyen efficace de reprendre confiance en vous. Vous pouvez, sans honte, acceptez les mains qui vous sont tendues ! Nous avons tous besoin les uns des autres. Être aidé n’est nullement une preuve de faiblesse. Au contraire, savoir vous saisir de toutes les opportunités pour évoluer est une preuve de sagesse et de force.

Effectuer des activités ludiques avec vos amis est aussi un excellent moyen de vous changer, même temporairement, les idées. N’essayez pas de vous forcer à faire comme si de rien n’était. Laissez-vous simplement envahir par le moment présent. Autorisez-vous à ressentir des émotions positives, ne cherchez ni à les fuir ni à les maintenir. Soyez, tout simplement !

  S’entourer de personnes inspirantes

Pour lutter contre la dépression, il faut également s’entourer de personnes inspirantes. Certains individus sont très gentils, mais par leur état d’esprit, ne vous entraînent pas sur le bon chemin.

Par exemple, imaginons que vous restiez qu’avec des gens qui passent leur temps à se plaindre ou à percevoir le monde de manière continuellement défaitiste. Comment vous sentiriez-vous après avoir côtoyé quelques heures ces personnes ? Encore plus mal, évidemment !

Au contraire, la personne dépressive a besoin bien entendu d’écoute et de bienveillance, mais également de motivation et de force ! Pour cela, n’hésitez pas non seulement à vous entourer de gens naturellement joyeux, positifs et dynamiques, mais également de personnes que vous admirez.

En effet, le meilleur moyen de convaincre quelqu’un est d’incarner le message que vous voulez lui transmettre. Les mots ne sont rien à côté de l’exemple vivant ! Ainsi, choisissez des amis qui, par leurs actions, vous tirent chaque jour un peu plus vers le haut.

 5 – Se balader dans la nature

 Se ressourcer grâce aux bienfaits de la nature

Se promener en pleine nature relève d’un charme bien particulier. En effet, les lieux de pleine nature tels que les forêts ou campagnes offrent à beaucoup d’individus un véritable sentiment de plénitude. Une récente étude démontre d’ailleurs que s’immerger au moins 30 minutes par semaine dans la nature réduit considérablement les risques de dépression et d’hypertension artérielle !

Contrairement à l’environnement bruyant, surpeuplé et pollué de la ville, la campagne offre un cadre apaisant et sain. Ce dernier, presque à l’écart du temps et semblable à une dimension parallèle, est idéal pour se ressourcer. Au sein de nombreuses croyances, il est également dit que les animaux et les végétaux bénéficient d’une fréquence vibratoire très élevée. En les côtoyant dans leur milieu naturel, il devient alors possible de profiter de leurs bienfaits énergétiques.

 Se reconnecter au grand tout

En se promenant dans la nature de manière consciente, il est possible de se sentir connecté à l’ensemble de la création. Le contexte des balades naturelles aide à se sentir comme une infime partie d’un tout. Beaucoup de personnes affirment que cela leur procure une sensation agréable !

Pour arriver à cela, il faut cependant être capable d’observer le monde avec des yeux d’enfant. Remettez un peu de magie dans notre vie ! Osez vous émerveiller des phénomènes naturels qui vous entourent. Beaucoup de choses qui vous paraissent banales au premier abord relèvent, en réalité, d’un fonctionnement incroyablement complexe et captivant.

Par exemple, avez-vous déjà analysé la vie au sein d’une fourmilière ou encore la communication des arbres ? En vous penchant de plus près sur les éléments qui vous entourent, vous découvrirez des merveilles.

Rappelez-vous que le bonheur est avant tout un assemblage de petits moments de bien-être. Réussir à prendre plaisir des choses simples est la clé pour vaincre la dépression efficacement.

 6 – S’investir dans un projet

L’espoir en l’avenir est un moteur

Le meilleur moyen de déprimer est de n’avoir aucun objectif. En ne disposant pas de buts précis, vous perdez le sens de votre existences. C’est précisément cette perte de sens de la vie qui conduit à la morosité quotidienne, voir au désespoir. Ainsi, il est capital d’avoir des projets !

Le fait de vouloir atteindre quelque chose, qu’il s’agisse d’une quête matérielle, psychologique ou spirituelle, est un moteur de chaque instant. Toute action trouve son commencement dans la tête d’un individu. La capacité à se lever chaque matin et agir dépend de votre motivation.

Si vous n’arrivez pas à trouver le projet dans lequel vous souhaitez vous investir, demandez-vous simplement quel message vous aimeriez transmettre au monde si vous deviez mourir demain. Répondez de la manière la plus spontanée possible. En fonction de la nature de ce message, réfléchissez aux choses que vous pourriez mettre en place pour vous en rapprocher le plus possible. En résumé, demandez-vous comment vous pourriez incarner votre message !

De même, questionnez-vous sur les choses en vous et à l’extérieur de vous qui vous empêchent de vous épanouir pleinement. Une fois encore, en fonction de la réponse, tentez de trouver différentes pistes aptes à les contrer, ou tout au moins, à les atténuer. Il ne faut pas avoir peur du changement ! Parfois, ce sont les prises de décision qui permettent d’améliorer le confort de nos vies.

Créer est un antidépresseur naturel

Les activités créatives sont excellentes pour la santé mentale. Elles permettent d’accroître la confiance en soi, de stimuler les sens et de déposer symboliquement nos souffrances.

Il est possible de créer de multiples manières. Que ce soit en peignant, en dessinant, en écrivant, en cousant, en sculptant, en cuisinant, en construisant… il y en a pour tous les goûts.

Avoir un projet implique nécessairement de créer. Le projet est lui-même une création que l’on porte sur le long terme. Au travers même de ses différentes étapes, il en implique d’autres.

Comment vaincre une dépendance ?

vaincre-dependanceQu’on se le dise, il est toujours difficile de vaincre une dépendance.

Qu’il s’agisse de la cigarette, de l’alcool, du sexe, des jeux vidéo, de la malbouffe ou même des réseaux sociaux, les addictions peuvent être nombreuses et de nature extrêmement variée.

Tels qu’ils soient, ces objets, substances et comportements non contrôlés nous empoisonnent la vie.

Il existe heureusement des solutions efficaces pour en venir à bout durablement. Découvrons lesquels !

Pourquoi se débarrasser de ses dépendances ? 

Qu’est-ce que la dépendance

Par définition, la dépendance se manifeste chez un individu par un besoin physique ou psychologique fort, irrépressible et jamais pleinement assouvi dans la durée. La dépendance implique donc généralement chez la personne qui la subit des comportements néfastes qu’elle n’arrive pas à contrôler et auxquels elle se soumet régulièrement.

Depuis la nuit des temps, les hommes ont démontré qu’il existe un nombre considérable et divers de dépendances. Si certaines dépendances, telles que la cigarette ou l’alcool, sont très connues, et donc facilement identifiables, d’autres mettent plus de temps à être découvertes. En effet, grand nombre de personnes sont dépendantes sans s’en rendre compte. Par exemple, un adolescent sans cesse accroché à son téléphone portable peut en être dépendant.

La dépendance est une privation de liberté

La dépendance implique nécessairement un objet extérieur. Par exemple, celui qui est dépendant du tabac a besoin d’une cigarette ; cigarette qu’il ne peut obtenir qu’en donnant de l’argent à une entreprise. De même celui qui est dépendant du sexe à besoin d’un partenaire ; partenaire qui a le pouvoir d’accepter ou non la relation, et de poser ses propres conditions à cette dernière.

En fonctionnant de cette manière, la dépendance engendre une privation de liberté. En ayant besoin de quelque chose qui se trouve à l’extérieur de vous, vous devenez esclave de la chose en question. Cette dernière peut alors, illuminer comme littéralement pourrir votre quotidien !

Le Dalaï-Lama disait très justement : « Le vrai bonheur ne dépend d’aucun être, d’aucun objet extérieur. Il ne dépend que de nous. »

Bien sûr, dans notre société actuelle, il est presque impossible de ne dépendre de rien d’autre que de soi-même. Cependant, nous pouvons parfaitement entreprendre la démarche de réduire au maximum les situations de dépendance quotidienne. De même, nous avons le pouvoir de modifier, non pas les événements extérieurs, mais la manière dont ces derniers nous affectent et la façon dont nous allons y répondre. Ainsi, nous restons entièrement maîtres de notre bien-être !

La dépendance a un prix

Sachez-le, certaines dépendances ne posent pas, ou peu, de problèmes concrets dans la vie d’un individu. Par exemple, imaginons que vous soyez accro… aux fruits ! Improbable, n’est-ce pas ? Pourtant, dans l’hypothèse où cette situation surviendrait, elle n’aurait pas de répercussions véritablement néfastes. Cependant, soyons honnêtes, la majorité des dépendances deviennent rapidement problématiques, car l’objet convoité engendre des conséquences négatives.

Par exemple, certaines dépendances sont mauvaises pour la santé, et peuvent causer diverses maladies. D’autres, en raison des conduites à risques et du repli sur soi qu’elles provoquent, entraînent des ruptures familiales, professionnelles et sociales. D’autres encore engendrent une perte d’argent considérable. Souvent, ces méfaits sont même entremêlés les uns aux autres!

Le but n’est donc pas de vaincre une dépendance juste pour la forme, mais d’améliorer considérablement la qualité de votre vie et de celles de vos proches.

Comprendre les origines de ses addictions 

L’addiction vient combler un manque

On ne devient pas addict par hasard. Si l’origine génétique n’est pas à mettre de côté, les études psychologiques démontrent également que les personnes les plus vulnérables aux addictions sont celles qui ont un manque à combler. De cette manière, les gens dépendants cherchent inconsciemment à trouver dans l’objet de leur dépendance ce dont ils sont dépourvus. Ils tentent aussi, au travers de l’addiction, d’atténuer la souffrance provoquée par ce vide intérieur.

Il faut savoir que les expériences vécues au cours de la petite enfance, notamment entre la période prénatale et l’âge de six ans, ont un impact majeur sur notre manière de percevoir le monde à l’âge adulte. Très nombreux des mécanismes psychiques inconscients que nous mettons en place en sont le résultat. De cette manière, il est particulièrement intéressant de s’intéresser à cette étape de notre passé pour mieux comprendre les difficultés que nous rencontrons dans le présent.

Des études tendant à montrer que de nombreuses dépendances ont pour cause une insécurité affective. Qui n’a jamais entendu des phrases telles que : « tu seras gentil si tu ranges ta chambre » ou encore « sois gentil, va ranger ta chambre », et autres variantes ?

Ces dernières montrent que nous communiquons sans cesse avec les jeunes enfants, et parfois aussi avec les adultes, par le biais du chantage affectif. Au travers ces injonctions aux allures anodines, le cerveau entend : « je t’aimerai seulement si tu ranges ta chambre ». L’amour de la figure d’attachement principale n’est donc plus perçu comme inconditionnel. Il dépend de performances réalisées ou non. De cette manière, nous emmagasinons, sans nous en rendre compte, une grande instabilité interne.

Prendre conscience d’un problème est le premier pas vers sa solution

Beaucoup de personnes dépendantes refusent de voir la réalité en face. Elles tentent, par tous les moyens, de se persuader qu’elles n’ont aucun problème. C’est ce qu’on appelle la phase du déni. Prendre conscience d’une addiction est pourtant le premier pas vers sa résolution.

Quel que soit le problème rencontré, il est nécessaire, non seulement de le voir, mais aussi de le comprendre, pour pouvoir le combattre efficacement. Ainsi, en prenant conscience des mécanismes qui se cachent derrière votre dépendance, il devient plus facile de la démanteler !

Se détourner de ses addictions 

Une fois la cause de votre addiction ciblée, il est tant de passer à l’action !

La première chose à faire pour vaincre une dépendance est de s’en détourner. Il est capital d’éviter les tentations ! Plus l’objet de votre addiction sera à votre portée, et plus vous aurez envie d’y avoir recours. De même, plus vous vous retrouverez dans des situations où vous avez l’habitude de céder à votre dépendance, et plus la pulsion sera forte. Ainsi, il est préférable de vous éloigner au maximum de l’objet de votre convoitise, que ce soit physiquement et psychologiquement.

Par exemple, si vous tentez d’arrêter la cigarette, éviter d’entrer dans un bureau de tabac, ne restez pas au contact de gens qui fument ou encore évitez la pause clope habituel au travail. De même, si vous voulez venir à bout d’une dépendance aux jeux vidéo, ne restez pas tout l’après-midi à la maison à côté d’un ordinateur, mais sortez vous aérez l’esprit !

Rassurez-vous, ces précautions ne seront à prendre qu’un temps. Il convient seulement au début de se montrer prudent, car vous serez en situation de fragilité. Plus la dépendance s’atténuera, et plus vous serez en mesure d’être exposé à l’objet de votre addiction sans danger.

 Trouver des substitutions à ses addictions 

Pour se sortir d’une addiction, il faut souvent y trouver des alternatives. Ces dernières aident à résister. Elles peuvent également atténuer la sensation de manque. Par exemple, si vous arrêtez de fumer, les patchs à la nicotine peuvent vous être utiles. De même, si vous stoppez la malbouffe, un burger 100% biologique, fait maison et végétalien peut être un bon compromis à votre irrépressible envie d’un Mc Donalds. Vous l’aurez compris, il s’agit simplement d’opter pour une substitution.

Quand les substitutions ne fonctionnent pas, et que vous êtes sur le point de craquer, il vaut mieux se tourner vers un compromis. Par exemple, commencer par réduire les cigarettes consommées dans la journée avant de les arrêter complètement. Cette méthode permet d’agir progressivement, et donc d’habituer le corps et l’esprit en douceur à la transition. Attention cependant, il est capital de se tenir aux conciliations, et de les faire évoluer, étape par étape, jusqu’à l’arrêt complet de l’addiction.

 Être bien entouré 

Côtoyer des gens positifs

Si vous tentez de vaincre une dépendance, le choix de votre entourage est très important. En effet, nous sommes, parfois sans le savoir, extrêmement influençables, et ce d’autant plus dans une situation de fragilité. Les personnes que nous côtoyons ont un fort impact sur nous.

Il est donc préférable de nous entourer d’individus capables de nous motiver, de nous encourager et de nous tirer vers le haut ! De même, privilégiez les relations sincères et bienveillantes, car la compréhension et le soutien des proches sont indispensables dans la lutte contre une addiction.

 Se faire aider par un professionnel

Si certains y arrivent seuls, d’autres auront besoin de l’appui d’un professionnel pour se débarasser d’une addiction. Qu’il s’agisse d’un psychologue ou d’un addictologue, ou même des deux, un suivi d’ordre médical ou psychologique peut réellement vous être bénéfique.

En effet, le professionnel, de par sa formation et son expérience, bénéficie d’outils et de compétences qui ne sont pas toujours à votre portée ou à celle de vos proches. Il serait dommage de ne pas en bénéficier. Bien entendu, se faire suivre par un professionnel reste une aide, un soutien, mais en aucun cas une finalité. C’est vous qui restez maître de votre démarche !

Participer à des groupes d’entraide

Connaissez-vous le principe de pair-aidance ? Il s’agit de l’entraide entre personnes souffrant ou ayant souffert d’une même difficulté, généralement par le biais de groupes de parole. Connue depuis longtemps dans le domaine des addictions, la pair-aidance permet d’échanger sans jugement, avec des personnes qui vous comprennent vraiment.

La pair-aidance est également un moyen d’aider, tout en étant aidé ! Cette technique relationnelle est considérée comme efficace pour rompre l’isolement et rester pleinement acteur de son parcours vers la guérison.

Il est possible de vous rapprocher d’associations luttant contre les dépendances pour rencontrer des personnes qui vivent la même situation que vous. En effet, ces structures proposent souvent la mise en place de groupes de parole ou de groupes d’entraide mutuelle. Ces derniers utilisent même parfois des supports intéressants, tels que les activités artistiques !

7 habitudes matinales des personnes qui réussissent !

habitude-matinalLes habitudes matinales sont d’une importance capitale. Et c’est ce que vous allez découvrir dans cet article.

En effet, le matin, il y a ceux qui se lèvent, toujours plus en retard, virevoltent de pièce en pièce de l’appartement une tasse de café bouillante entre les mains, en essayant de tout faire pour ne pas arriver encore, en retard au bureau !

Et puis, il y a ceux, qui même s’ils n’étaient pas forcément du matin, ont fini par le devenir. Lorsque le réveil sonne, ils prennent le temps de se réveiller, mais plus encore de se préparer à la journée à venir…

Car loin d’être un moment anodin, notre réveil, le temps que l’on s’accorde avant de filer vers ses obligations est en réalité très précieux, impactant sur le déroulé de la journée, selon l’expression consacrée « se lever du pied gauche« ….

Les habitudes matinales, la morning routine…

C’est une tendance venue des États-Unis, la morning routine, que l’on peut traduire par la routine du matin ! Inspirée des tendances bien-être et des dirigeants et leaders de grands groupes à l’international, la morning routine devient désormais la tendance à suivre, comme pour mieux organiser sa journée.

Ainsi, ce sont désormais de très nombreux chefs d’entreprises, femmes d’affaires, cadres et dirigeants qui, suivant ces conseils avisés de plus en plus évoqués au coeur du bien-être au travail, qui choisissent de commencer leurs journées avant d’arriver au bureau, et ce, dans les meilleures conditions, en adoptant les bonnes habitudes matinales…

Alors que leurs collègues sont encore confortablement au chaud sous leur couette, ils sont de plus en plus nombreux à se lever, chaque matin aux aurores, pour profiter d’un temps qui leur est dédié avant la journée de travail. Les études conseillent d’ailleurs de se lever 2 à 3 heures avant de se rendre au travail, de cette manière, votre système cérébral et nerveux serait pleinement efficace lorsque vous franchirez la porte de votre bureau…

Pour vous aider à profiter des matins, à apprécier de vous lever, un peu plus de temps que d’ordinaire, ensemble, revenons sur les 7 habitudes matinales des gens qui réussissent, la morning routine à adopter de toutes urgences pour votre réussite, votre bien-être et également votre santé…

1-Préparer sa journée la veille et programmer son réveil

La morning routine commence en réalité, la veille au soir. Afin de commencer une journée dans les meilleures conditions, rien de tel que de la préparer. Si vous avez une réunion de la plus haute performance, mieux vaut prendre le temps de préparer votre tenue la veille, pour être certain(e) que tout sera en ordre demain.

Vous pouvez également prendre le temps de préparer les vêtements des enfants, les sacs ou encore le dossier important dont vous aurez absolument besoin.

Prévoyez également la sonnerie de votre réveil en fonction du temps dont vous voulez pouvoir disposer le matin. Enfin, pour être en forme la journée, la qualité de sommeil est indispensable… Exit donc les smartphones dans le lit qui nuisent à la qualité de votre sommeil. Un livre, une conversation avec votre compagnon, optez pour une soirée au calme !

2-Les bons gestes, dès le réveil

Les bonnes habitudes matinales se prennent dès le réveil. La première des choses à faire pour être en forme toute la journée, c’est de prendre le temps de se réveiller.

Puisque vous avez un peu de temps (plus que si vous aviez réglé votre réveil à l’heure habituelle), profitez pour vous étirer, prendre le temps de vous réveiller en douceur. Au lieu de sauter du lit à toute vitesse, c’est bien plus agréable de prendre le temps de se préparer à cette nouvelle journée.

Les différentes études réalisées sur les routines matinales montrent l’importance de faire son lit. En réalité, c’est une manière d’indiquer que le temps du sommeil est terminé, et cela impacte sur votre productivité, sans compter que vous serez content de trouver votre lit fait le soir venu.

On recommande aussi, pour bien commencer la journée, de boire un grand verre d’eau avec du citron, a jeun. Reconnue pour ses propriétés detoxifiante, cette boisson vous aide à revitaliser votre organisme !

Enfin, posé sur la table de nuit, votre smartphone affiche de nombreuses notifications. D’ordinaire, la journée à peine commencée, vos yeux sont déjà rivés sur l’écran… Pour bien commencer la journée, et prendre de bonnes habitudes matinales, il est conseillé en réalité de ne pas utiliser son smartphone ni ordinateur portable, deux heures après le réveil. Dans la mesure du possible, tenez-vous-en à ce conseil qui vous fera le plus grand bien !

3-Un petit déjeuner équilibré

Loin du temps ou vous vous contentiez d’avaler un café à toute vitesse avant de filer prendre le métro, pour réussir et vous accomplir, en réalité, vous aurez besoin d’un bon petit déjeuner ! En fonction de vos goûts et de vos envies, optez pour un mélange sucré salé et faites-le plein de vitamines, à moins que vous ne préfériez les petits déjeuners traditionnels. Des vitamines, des fruits, une boisson chaude, un laitage, à vous de composer…

De cette manière, votre organisme fait le plein de calories et donc d’énergies, si vous évitez les fringales en cours de matinée, vous serez également bien plus en forme tout au long de la journée !

4-De l’activité physique dès le matin

Faire du sport dès le matin, c’est prouvé, c’est excellent aussi bien pour la santé que pour le moral. Certains choisissent de partir courir à l’extérieur, profitant ainsi d’un bol d’air frais revitalisant dès le matin. Pour d’autres, il s’agira de faire du yoga, de la méditation, une séance de musculation ou toutes autres activités.

Aucune règle ne s’impose, l’important étant de prendre le temps d’évacuer la pression et de se maintenir en forme. Évidemment, il n’est pas obligatoire, bien au contraire, de faire du sport chaque matin, 2 à 3 fois par semaine, c’est déjà un rythme très bénéfique.

En revanche, de nombreux dirigeants soumis à de rudes journées toujours plus stressantes pratiquent désormais le yoga ou la méditation dès le réveil, afin de se préparer au mieux à gérer les éventuels problèmes de la journée. Les études réalisées montrent que ces professionnels sont alors plus efficaces, gèrent mieux les postes de hautes responsabilités et savent mieux prendre des décisions. Alors pourquoi pas vous ?

5-Le temps de faire le point sur la journée, le programme

Parmi les habitudes matinales à prendre, on vous conseille également, de vous accorder un temps pour faire le point sur la journée qui s’annonce. Vous avez une réunion avec des investisseurs, tout est-il prêt ? Vous devez rencontrer un client, comment pressentez-vous cet entretien ? Pour ce nouveau projet, vous devez rencontrer un éventuel futur collaborateur, avez-vous bien défini les compétences requises ?

Prenez le temps de vous interroger sur la journée, pour mieux pallier les différents aléas et autres imprévus !

6-Consacrer quelques instants à l’avancée d’un projet en cours

À côté de votre travail, vous avez un projet qui vous tient à coeur. Pour certains, il s’agit d’une nouvelle activité que vous souhaitez commencer, pour d’autres un projet sur le web ou encore le développement de nouveaux services. Malgré vos nombreuses idées, vous n’avez pas le temps… Du moins, vous n’aviez pas de temps jusqu’à maintenant ! En profitant pleinement de chaque matin, plus d’excuses maintenant pour ne pas vous consacrer à ce qui vous tient à coeur !

On vous conseille par ailleurs de moduler ce temps à celui de la pratique d’une activité physique. Ainsi, les matins où vous n’irez, par exemple, pas courir, profitez de ce temps en plus pour votre projet, et vice-versa !

7-Et prenez le temps d’échanger avec votre famille, votre conjoint(e)

Enfin, vous n’êtes pas uniquement une chef d’entreprise brillante et reconnue pour la qualité de votre travail, pas plus que vous n’êtes qu’un employé dont le parcours s’avère des plus prometteurs, non… Vous êtes aussi probablement une femme, une compagne, un mari, un père.

Pour bien commencer la journée, rien de tel que de prendre le temps pour ses proches, sa famille, son couple… Profitez du temps que vous avez gagné par rapport à vos anciennes habitudes pour partager un café avec votre épouse, prendre le temps de discuter de la journée avec vos enfants, faire le plein de tendresse pour affronter la journée avec le sourire !

Pourquoi l’autodiscipline est-elle si difficile ?

autodisciplinePourquoi l’autodiscipline est-elle si difficile ?

Et si nous prenions quelques instants juste avant pour nous demander ce que nous aurions été capables d’accomplir si nous avions su donner le meilleur de nous-mêmes en chaque circonstance ?

Avec quelle force aurait-on réussi les projets qui nous tiennent à coeur, en combien de temps ?

Où en serions-nous dans notre vie actuelle, si nous avions toujours su nous surpasser ?

Si de nombreux films et ouvrages s’amusent à montrer à l’Homme à quel point il n’utilise pas ses pleines potentialités, l’autodiscipline tend à corriger nos traits de personnalités qui nous limitent nous-mêmes dans notre réalisation, que ce soit de manière consciente ou non…

Quelle que soit la nature de vos projets, une chose est certaine, vous n’atteindrez le succès qu’en prenant le contrôle sur votre état d’esprit, et en faisant preuve d’une volonté et d’une motivation sans faille… Mais sachez-le, ces dernières ne sont pas illimitées, il faut apprendre à les stimuler, à les conserver ! Apportant de nombreux bienfaits, et ce, aussi bien dans la vie personnelle que professionnelle, pour son développement personnel, ou encore dans ses relations sociales et intimes, l‘autodiscipline quotidienne n’est pourtant pas toujours aussi simple à suivre et moins encore à respecter….

L’autodiscipline, mieux la comprendre pour mieux l’utiliser

On pourrait définir l’autodiscipline, comme la capacité à se pousser à agir, à réaliser des actes, et ce, quel que soit votre état émotionnel… En d’autres termes, grâce à l’autodiscipline, appliquée dans son quotidien, on ne se laisse plus dicter par les vagues de découragement dans la réalisation de ses projets, on ne se laisse pas plus submergé par les problèmes que l’on sait surmonter, tout comme on sait dépasser le sentiment de stress, les peurs et les émotions qui nous parasitent…

Avec l’autodiscipline, que l’on soit en pleine détresse sentimentale, ou au coeur d’un virage dans notre vie, d’une remise en cause profonde, on apprend en réalité à donner le meilleur de nous même pour aller vers son chemin, pour se réaliser, ou encore pour atteindre ses objectifs !

De plus en plus mentionnée au coeur du développement personnel, l’autodiscipline est en réalité utilisée depuis de très nombreuses années, par l’Homme qui apprend à se servir de ses instincts cérébraux (tels que la volonté, le courage, la détermination et l’évolution) pour réussir tout ce qu’il entreprend.

Mais attention, il serait réducteur de penser que l’autodiscipline représente simplement le fait de se forcer à faire des choses que l’on n’a pas envie, car en réalité, ça va plus loin que cela.

L’autodiscipline nous amène, à la suite d’un questionnement personnel, à mettre en place des comportements auto-imposés, en vue qu’ils deviennent de réelles habitudes.

On l’utilise donc par exemple, pour réussir au sein de sa carrière; comme ces hommes et ces femmes du monde entier qui s’imposent des routines matinales au service de leurs productivités. Mais pas uniquement; l’autodiscipline se répand à tous les aspects de notre vie, du moment qu’il s’agit de nous forcer à aller plus loin, plus vite, pour nous épanouir et de devenir une meilleure version de nous-mêmes, à force de changements, devenus des habitudes !

Les freins à l’autodiscipline ; la culture de l’immédiateté et le manque d’objectif

L’autodiscipline fait appel à nos schémas de pensées conscients et inconscients, que l’on tente de modifier. Mais ce sont également nos schémas de pensées et nos croyances limitantes qui nous posent problème et mettent un frein dans la réalisation de nos projets.

Car, il faut le reconnaitre, l’autodiscipline est bien compliquée, non seulement à mettre en place, mais également à maintenir sur le long terme. Et pour cela, les raisons sont simples : le besoin d’obtenir des résultats tout de suite, et le manque d’objectifs définis.

Si vous voulez vous dépasser et donner le meilleur de vous-mêmes, vous devez savoir, de manière claire et précise, le chemin que vous voulez emprunter. Si vous souhaitez, par exemple, quitter votre job pour ouvrir une entreprise en freelance, vous devez prendre le temps d’affiner votre projet ( Quand allez-vous quitter votre travail ? Avez-vous toutes les qualifications et ressources requises pour créer votre entreprise ? Avez-vous mis en oeuvre tous les moyens nécessaires ?  Avez-vous défini un calendrier ?).

Si vous ne définissez pas, de manière claire, et également temporelle (en vous fixant des dates limites) vos objectifs, comment voulez-vous être motivé et savoir quelle direction emprunter, et à quels moments ? Comment voulez-vous avoir l’énergie et la motivation nécessaires pour changer, si vous ne savez pas réellement ce que vous voulez ?

Enfin, l’un des principaux freins à l’autodiscipline demeure aujourd’hui notre culture de l’immédiateté. Car, nos modes de consommation et d’information nous amènent à disposer de tout, tout de suite. Nous pouvons passer une commande en ligne et la recevoir le lendemain matin dans notre boîte aux lettres, cette immédiateté se rapporte désormais à nos ambitions, nos projets…

On souhaite donc ouvrir son entreprise et réaliser des milliers d’euros de chiffres d’affaires en quelques mois à peine, commencer un régime et perdre deux tailles de pantalon en un mois seulement… Non seulement, ces objectifs sont très difficilement accessibles, mais surtout, ils ne vous amènent qu’à une chose : vous décourager !

L’autodiscipline inclue donc de sortir de ses schémas de pensées, de savoir et de comprendre, que le changement est dépendant du temps, de l’accepter, pour en tirer pleinement profit !

Remettre en question, vos manières de pensées, ou de vivre, cela ne peut se faire en quelques jours, une ou deux semaines au plus, c’est un processus à entrevoir sur le long terme.

Pour rester motivé, sachez donc vous focalisez sur les petits changements, qui en annoncent souvent de plus grands à venir…

3 conseils et exercices pour réussir grâce à l’autodiscipline

Comme toutes choses, et toute mentalité, l’autodiscipline est quelque chose qui se travaille. On ne peut, du jour au lendemain, changer totalement de manière de fonctionner. Il faut donc prendre le temps de tirer le meilleur profit possible de cet état d’esprit, pour s’en nourrir et continuer d’avancer… Mais plus encore, l’autodiscipline se travaille, elle s’améliore avec le temps, et l’habitude… Ensemble, revenons sur 3 conseils simples à appliquer pour réussir grâce à l’autodiscipline !

1. Commencer par des petits challenges

Vous avez de grands projets pour votre vie, et c’est une chance ! Mais si vous commencez par vous fixer des objectifs accessibles uniquement sur le long terme, et qui vous demandent en plus de gros efforts, alors ça risque d’être compliqué…

Pour bien s’initier aux bienfaits de l’autodiscipline, il est conseillé de commencer par procéder à des petits challenges, tout en restant dans sa zone de confort. On peut par exemple, commencer à régler son réveil 30 minutes plus tôt chaque matin, et instaurez l’habitude de modifier son comportement avant d’aller au travail… Ce petit changement, facilement accessible, vous aidera à rester motivé pour en atteindre d’autres, à l’avenir !

Plus encore, il vous permettra de mieux comprendre, en l’expérimentant, le fonctionnement de l’autodiscipline !

2.Développer un planning de travail/ objectifs !

Le meilleur moyen pour être autodiscipliné c’est de se fondre dans un cadre, et donc de se plier à un planning de travail. En fonction des objectifs que vous souhaitez atteindre, des changements que vous souhaitez opérer dans votre quotidien, prenez le temps de définir un planning. Cela passe par l’estimation des dates limites (auxquels vous devrez avoir réussi une ou plusieurs étapes), mais pas uniquement !

Pour rester motivé et réussir à donner le meilleur de vous même dans toutes les circonstances, prenez également le temps de noter les efforts et les résultats obtenus. Vous pourriez par exemple utiliser un tableau de visualisation (insérer lien de l’article sur le tableau de visualisation).

En réalité, plutôt que les longs schémas de pensées, et les objectifs que vous vous fixez le soir en vous endormant, il est essentiel de les poser noir sur blanc, avec un planning défini sur le mois, la semaine, parfois l’année… De cette manière, lorsque vous vous sentirez découragé, vous pourrez observer, de manière concrète, les évolutions auxquelles vous avez procédé, une astuce infaillible contre les baisses de moral !

3.Insuffler une notion de plaisir dans les corvées

Enfin, le plus dur dans l’autodiscipline, c’est probablement de réussir à prendre du plaisir lorsque l’on insuffle différents changements. Si vous souhaitez par exemple apprendre à être plus productif et donc modifier vos habitudes matinales, forcément, ce ne sera pas avec un grand plaisir que vous modifierez l’heure sur votre réveil… Pareil, si vous avez de lourdes tâches à réaliser au travail, ce ne sera pas forcément avec le sourire que vous commencerez votre mission, n’est-ce pas ?

Le secret de la réussite dans l’autodiscipline, c’est donc aussi de réussir à prendre du plaisir dans ces nouvelles habitudes, et pour cela, il y a une multitude d’astuces. Prévoir de s’offrir un cadeau, une récompense à l’atteinte d’un objectif intermédiaire, insuffler de nouvelles habitudes bien-être dans le travail… Faites preuve d’imagination, vous n’en serez que plus efficace encore !