3 habitudes qui vont radicalement changer votre vie

habitudes-changer-de-vieLorsque l’on désire prendre sa vie en main, il n’est pas toujours aisé de savoir comment s’y prendre.

Ce qui peut être source de frustration et de découragement.

Tout changement durable s’obtient en modifiant ses habitudes.

Encore faut-il adopter les bonnes. Heureusement, cet article est là pour vous y aider. Vous voulez changer radicalement votre vie ? Découvrez ces 3 habitudes à adopter sans plus attendre !

1- Adoptez un état d’esprit positif

Pourquoi penser positif ?

La première et la plus importante des habitudes à adopter pour changer votre vie, c’est d’adopter un état d’esprit positif en toute circonstance. Loin de la caricature de la personne passive qui se contente d’ignorer les problèmes en répétant à l’envie « Je vais bien, tout va bien », la pensée positive est le moyen le plus efficace de faire face aux aléas de la vie, qu’ils soient petits ou grands.

Former des pensées mobilise une grande partie de notre énergie. Le cerveau est d’ailleurs l’un des organes les plus gourmands en ressource du corps. Nos pensées ont une grande influence sur notre état d’esprit, et, par là même, sur nos actions.

Si vous vous épuisez à ressasser et à récriminer face à un problème, vous serez moins disponible pour trouver le moyen de le résoudre. La situation gênante va perdurer, entraînant un nouveau flot de pensées négatives et c’est un véritable cercle vicieux qui se met en place.

En adoptant un état d’esprit positif, au contraire, vous vous donnez les moyens de changer votre vie en solutionnant ce qui vous dérange. Chaque embûche, chaque situation conflictuelle comporte son lot d’enseignements à en tirer pour la suite.

Voir ces situations comme de passionnants défis à relever, plutôt que comme des malédictions injustes, vous stimulez votre cerveau. Ainsi, il vous sera plus facile de trouver une solution et vous pourrez tirer profit de cette expérience pour le futur.

Comment faire pour y arriver ?

Dans notre société où la critique et les pensées négatives sont devenues la norme, adopter et conserver un état d’esprit positif n’est pas toujours évident. Qui n’a jamais entendu des moqueries à l’égard de quelqu’un qui se satisfait de sa vie au lieu de prendre part aux récriminations collectives autour de la machine à café le lundi matin, par exemple ?

Comme tout changement, apprendre à penser positivement demande d’y aller en douceur. Ne vous attendez pas à vous transformer en modèle de zénitude du jour au lendemain.

Commencez d’abord par identifier ce qui vous stresse et vous tracasse au quotidien. Notez toutes ces choses sur une liste et classez-les par ordre d’importance. Une fois ceci fait, attaquez-vous aux choses que vous considérez comme étant les moins importantes.

Observez ces situations avec le plus de détachement possible pour identifier la source exacte de l’inconfort qu’elles produisent chez vous. Ensuite, essayez d’en dégager des aspects positifs malgré tout, de chercher quelles leçons vous pourriez en tirer.

Enfin, posez-vous une question toute simple : pouvez-vous changer la situation d’une quelconque manière ? Si c’est le cas, posez sans attendre des actions concrètes en ce sens. Sinon, vous allez devoir faire preuve de lâcher prise et accepter la situation comme elle est en faisant preuve de résilience, c’est-à-dire en trouvant des solutions pour qu’elle reste supportable.

En agissant ainsi pour les petits tracas quotidiens, vous changerez petit à petit de façon de raisonner et de voir les choses. Ainsi, vous pourrez agir de même face à des problèmes plus importants.

À éviter pour réussir

Pour changer votre vie en pensant positif, votre entourage joue un rôle très important. En effet, si vous êtes entouré de personnes négatives, qui ne seront pas en phase avec votre nouvel état d’esprit, rendre le changement durable peut s’avérer compliqué. Vous risquez de vous heurter à leur incompréhension, voir à leurs critiques.

En essayant de leur démontrer les vertus de la pensée positive, vous dépenserez inutilement une énergie précieuse, car les gens qui se complaisent dans leurs problèmes ne sont pas décidés à changer. Un peu de tri dans votre cercle de proches s’impose. Fuyez les connaissances toxiques qui passent leur temps à ressasser ce qui ne va pas ou celles qui critiquent tout et tout le monde, sans jamais agir pour autant.

Entourez-vous de gens positifs et bienveillants, qui partagent votre vision de la vie et votre désir d’amélioration. Ils vous apporteront un précieux soutien dans les, inévitables, moments de doutes et vous tireront vers le haut.

2- Cultivez votre esprit chaque jour

Pourquoi cultiver votre esprit ?

Votre esprit est le siège de vos pensées, de vos émotions et de vos sentiments. Comme nous venons de le voir, il impacte tous les aspects de votre vie. Vous devez donc en prendre grand soin. L’esprit est comme un jardin : si vous vous appliquez à le cultiver et à l’entretenir, il débordera de ressources et de vitalité. A contrario, si vous le laissez à l’abandon, il sera rapidement envahi de mauvaises herbes et ne sera plus fertile.

Cultiver votre esprit, c’est vous donner le pouvoir de changer votre vie en investissant sur vous-même. Pour se développer, il a besoin d’activités épanouissantes et stimulantes. La lecture, par exemple, est indispensable. Lisez autant de livres que vous le pourrez, sur le plus de sujets possibles.

La curiosité est la garantie d’un esprit vif et ouvert. La méditation est aussi un excellent exercice qui permet de canaliser le flux de vos pensées. Méditer vous permettra de mieux vous connaître, d’être plus serein et de maîtriser vos émotions.

Comment faire pour y arriver ?

Pour arriver à lire et à méditer chaque jour, il est essentiel de vous organiser pour vous dégager du temps. Ne considérez pas ces activités comme de simples loisirs, mais comme des investissements indispensables. Penser ainsi vous aidera à dégager des créneaux pour vous y consacrer pleinement. Mettez à profit tout votre temps disponible, comme votre temps de trajet, si vous prenez les transports en commun.

Si vous aimez lire, conservez cette saine habitude et adonnez-vous-y autant que possible. En revanche, si vous goûtez peu les joies de la lecture, changez vos habitudes progressivement. Commencez par choisir un ouvrage simple, dont le sujet vous passionne.

Cela peut-être une fiction, un traité de vulgarisation sur l’un de vos passe-temps favoris, qu’importe. L’essentiel, c’est que vous soyez suffisamment motivé pour avoir envie de lire. Commencez par de courtes séances, puis augmentez leur durée de façon progressive. Vous vous prendrez au jeu et pourrez ensuite passer à des ouvrages plus complexes.

Pour la méditation, choisissez une forme aisément accessible aux débutants, comme la méditation par le vide, ou la méditation en pleine conscience. De nombreux sites internet, ouvrages et groupe de pratique vous procureront de précieux conseils pour en acquérir les bases. Ensuite, comme pour tout changement, le plus important c’est d’être régulier dans votre pratique.

À éviter pour réussir

Pour cultiver au mieux votre jardin intérieur, fuyez les loisirs qui vous rendent passifs et qui sont chronophages. La télévision en est un excellent exemple. Une fois celle-ci allumée, le temps défile à toute vitesse et il devient difficile de détacher les yeux de l’écran.

Pourtant, que vous apporte-t-elle d’utile ? La plupart du temps, rien. Il s’agit de temps perdu à observer la vie réelle, ou imaginaire, d’autres personnes au lieu de vous consacrer à améliorer la vôtre. Pire, le mécanisme hypnotique de la projection des images place le cerveau dans une sorte de léthargie qui diminue votre capacité de jugement et votre esprit critique.

Il en est de même pour les jeux vidéo. Si vous êtes un peu plus actif que devant un film, ils vous immergent tout de même dans un monde fictif et vous donnent l’impression de vivre des aventures palpitantes sans bouger de chez vous. La vie est pourtant remplie d’opportunités de vous dépasser bien plus enrichissantes à saisir.

Si vous tenez tout de même à conserver ces loisirs, fixez-vous un temps limité pour vous y adonner et respectez-le. Sélectionnez également le contenu que vous consommez. Privilégiés les films inspirants ou les documentaires de qualité aux émissions de téléréalité et préférez les jeux vidéo pédagogiques jouables à plusieurs à ceux dont le seul but est de tuer le plus grand nombre d’ennemis possible.

3- Prendre soin de votre corps

Pourquoi prendre soin de votre corps ?

Votre corps est la maison dans laquelle votre esprit réside. Ils sont dépendants l’un de l’autre. Si vous voulez changer votre vie, vous devez donc prendre soin de l’un autant que de l’autre. Négliger cet aspect de votre vie vous expose à de nombreux désagréments.

Un corps mal entretenu vous fournira moins d’énergie pour vos activités. Votre réflexion sera moins rapide et plus laborieuse. Enfin, à moyen ou long terme, vous vous exposez à des maladies coûteuses sur les plans financier et émotionnels.

Chouchouter votre organisme passe par plusieurs domaines incontournables. Le premier d’entre eux est l’alimentation. Privilégiez les produits bruts, si possible de qualité biologique, et les repas cuisinés vous-même. Les fruits et les légumes de saison doivent constituer la base de vos menus. Pratiquer une activité physique régulière fait aussi partie des mesures bénéfiques à adopter.

L’idée n’est pas de faire de vous un compétiteur à tout prix, mais de vous faire plaisir tout en bougeant votre corps. Seul, entre amis ou en club, il y a forcément une activité faite pour vous ! Autre point trop souvent négligé : le sommeil. Assurez-vous de dormir suffisamment (entre 6 et 8 h pour un adulte) et d’avoir un sommeil de qualité.

Comment faire pour y arriver ?

Pour une alimentation saine sans prise de tête, le secret réside dans la simplicité. À moins que la cuisine ne soit déjà votre passion, misez sur des recettes rapides et simples à préparer, à base de produits de saison. Prévoyez à l’avance des créneaux pour faire les courses et cuisiner. Lorsque vous devez manger à l’extérieur, privilégiez au maximum les restaurants et fuyez les fast-foods, ou emportez votre repas.

Côté sport, choisissez une activité adaptée à vos goûts, mais aussi à votre condition physique et à votre état de santé. Il est inutile, voire dangereux, de vous lancer dans du cross fit si vous n’avez plus fait de sport depuis 5 ans, ou si vous avez déjà des problèmes cardiaques. Le cas échéant, n’hésitez pas à en discuter avec votre médecin. Ensuite, trouvez des ressorts de motivation pour rester régulier dans le temps.

Enfin, pour vous ménager un sommeil de qualité, adoptez les bonnes pratiques pour se préparer au sommeil :

-prenez votre dernier repas au moins 2 h avant de vous mettre au lit,

-éteignez tous les écrans (smartphone compris) au moins 1 h avant d’aller dormir,

-réservez la soirée aux activités calmes comme la méditation ou la lecture,

-instaurez un rituel de coucher.

À éviter pour réussir

L’industrie agroalimentaire, les marchands de tabac et les alcooliers regorgent d’ingéniosité pour susciter le désir du consommateur et donner une image de leurs produits bien éloignée de leur toxicité réelle.

Éloignez-vous le plus possible des sources de tentation que sont les publicités et apprenez à refuser poliment ce qui est nocif pour vous, y compris lorsque vous êtes avec des amis ou dans le cadre professionnel. Votre santé doit passer avant le regard des autres.

La société actuelle cristallise des positions aussi extrêmes qu’opposées sur la santé et le soin du corps. Certains usent et abusent de lui en multipliant les comportements nocifs et s’en remettent ensuite à la médecine pour réparer les dégâts. D’autres fuient la science et les médicaments, qu’ils accusent de tous les maux.

Évitez ces comportements extrêmes et agissez avec raison. S’il est important de chercher à prévenir au maximum les maladies par une hygiène de vie saine, il est nécessaire de consulter un médecin rapidement en cas de besoin et de prendre le traitement prescrit.

Si vous souhaitez réellement changer votre vie, il est possible d’y parvenir en adoptant des habitudes saines. Elles sont les fondations sur lesquelles vous pourrez bâtir la vie dont vous rêvez. Si vous parvenez à adopter un état d’esprit positif en toute circonstance, tout en cultivant votre esprit et en prenant soin de votre corps, alors, rien ne pourra vous arrêter.

Vous êtes le seul à pouvoir décider d’embrasser le changement. Le meilleur moment pour passer à l’action est toujours aujourd’hui, alors foncez !

Comment étudier plus efficacement : 5 astuces

etudier-plus-efficacementL’approche des examens ou la nécessité de suivre une formation est souvent source d’inquiétude pour les étudiants de tous âges.

Face à un volume important d’informations complexes, il est normal de se sentir perdu.

Rassurez-vous, grâce à quelques astuces simples, il est possible d’apprendre sans prise de tête.

Pour en savoir plus, voici 5 astuces imparables pour étudier plus efficacement !

Faut-il être intelligent pour étudier plus efficacement ?

La question de l’intelligence est intimement liée au sujet de l’apprentissage. De nombreux étudiants pensent que réussir son cursus est une question d’intelligence avant tout. C’est ainsi qu’ils expliquent leurs propres lacunes et la réussite des autres.

En réalité, l’intelligence et la culture sont des choses très différentes. Les élèves les plus brillants ne sont pas les ceux dont le quotient intellectuel est le plus élevé, mais ceux qui savent comment étudier plus efficacement.

Notre cerveau est une machine au fonctionnement d’une incroyable complexité. Nous sommes d’ailleurs très loin d’en connaître tous les rouages. Il existe des techniques et des astuces qui permettent d’utiliser son mode de fonctionnement naturel pour exploiter au mieux tout son potentiel.

Au travers de 5 astuces simples, cet article va vous livrer des clés essentielles pour un meilleur apprentissage. La première étape pour réussir est d’accepter pleinement que vous en êtes capable et que vous méritez de réussir.

Cessez de culpabiliser et de douter de vous. Apprendre efficacement est une question de méthode avant tout. Mais la confiance en soi joue également un rôle important. Alors redressez la tête et préparez-vous à adopter les bonnes habitudes pour obtenir de meilleurs résultats.

1- Respecter son rythme biologique

Nos capacités d’apprentissage sont affectées par notre rythme biologique. Vous avez déjà dû en faire l’expérience. À certaines heures de la journée vous débordez d’énergie, alors qu’à d’autres moments, vous concentrer sur la lecture d’un simple roman demande un grand effort.

Pour étudier plus efficacement, vous devez connaître votre corps pour mettre à profit votre pic de productivité. Peu importe à quel moment de la journée, il survient. L’important est de vous organiser en fonction de lui.

Certaines personnes sont matinales alors que d’autres travaillent mieux en soirée. D’autres encore ont des pics de disponibilité mentale plus nombreux, mais plus courts. Pour savoir comment vous positionner, prenez le temps vous observer. Une fois votre plage horaire idéale définie, faites-en sorte de la libérer autant que possible afin de vous consacrer entièrement au travail durant cette période.

2- Faire un planning de révision précis

Des études réussies demandent une organisation de travail optimale. La désorganisation et la procrastination sont des ennemies de la réussite, qu’un planning de révision bien construit permet de combattre efficacement.

Prenez une feuille et couchez votre planning de travail sur papier, de sorte à pouvoir l’afficher au-dessus de votre bureau. De cette manière, vous serez plus enclin à vous y tenir. Fixez vos sessions de travail aux heures où votre attention est la plus élevée, comme évoqué dans le point précédent.

Prenez garde à ne pas programmer des séances trop longues. Même au mieux de notre forme, notre concentration perd en intensité au fur et à mesure du temps. Vouloir étudier 4 heures d’affilée n’est donc pas une bonne idée.

Prévoyez des séances de 2 heures maximum, avec une pause de 15 minutes au bout d’une heure pour relâcher la pression. Mettez ce temps à profit pour souffler, écouter un peu de musique et vous détendre, mais évitez de vous lancer dans une activité addictive comme surfer sur les réseaux sociaux.

Notre cerveau a besoin de diversité pour être stimulé. Si vous prévoyez plusieurs moments de travail dans la journée (un le matin et un en fin d’après-midi, par exemple), faites en sorte de réviser une matière différente à chaque fois. Votre attention sera meilleure et vous éviterez la déconcentration liée à la monotonie.

Pour vous motiver à étudier plus efficacement, planifiez des activités de loisir qui vous plaisent après chaque révision. Ainsi, vous aurez une motivation supplémentaire pour accomplir le travail que vous vous êtes fixé.

3- Utiliser les associations pour étudier plus efficacement

Retenir des informations complexes peut sembler décourageant au premier abord, surtout lorsqu’il s’agit de choses à apprendre par cœur. Pour rendre la tâche plus facile, il existe cependant un moyen mnémotechnique puissant : les associations.

Le principe est simple : associer une information à une autre qui vous permettra de la rappeler à votre mémoire. Le plus souvent, ce sont des images qui sont utilisées pour faire des associations, mais vous allez voir qu’il est possible de décliner ce concept de bien d’autres manières.

Lorsque l’information à apprendre est simple, comme une date, vous pouvez simplement visualiser les chiffres. Par exemple, pensez à Marignan en visualisant 1515.

Pour retenir un nom ou un concept simple, fabriquez une image mentale qui vous parle immédiatement. Ainsi, pour vous souvenir que les soldats de la Première Guerre mondiale étaient appelés « poilus », imaginez un animal hirsute comme un singe ou un yéti en uniforme.

Lorsqu’il s’agit d’intégrer des informations plus complexes, vous pouvez superposer les projections afin de former un scénario imagé.

Si la musique vous parle plus que les mots, révisez vos cours avec une chanson en fond et associez là au contenu. Évitez les tubes trop entrainants qui pourraient vous donner envie de chanter ou vous déconcentrer. Pas besoin d’écouter le morceau en entier, un extrait suffit.

4- Apprendre par la pratique

L’apprentissage passe incontestablement par une part de théorie, mais pour nous avons besoin d’utiliser nos connaissances pour les fixer au mieux dans notre esprit. Pour étudier plus efficacement, incluez une partie pratique à votre séance de travail.

La forme de celle-ci dépend beaucoup du type d’enseignement que vous suivez. S’il s’agit d’une matière professionnelle avec une application concrète, cherchez le moyen de pratiquer autant que possible et faites valider le résultat par des gens plus expérimentés.

Si vous suivez un cursus traditionnel, utilisez les quiz et les questionnaires à choix multiple pour dynamiser vos séances de travail. Internet fourmille de ce type d’exercices. Commencez donc par faire quelques recherches pour voir si vous trouvez votre bonheur.

Votre matière est trop pointue, ou vous avez fait le tour des exercices existants ? Cherchez des anales d’examens ou les exercices donnés par vos professeurs aux élèves de l’année précédente. Il vous sera d’autant plus facile d’avoir une correction fiable.

Il est également possible de construire vos propres outils pour étudier plus efficacement par la pratique en vous plaçant en position pédagogique inversée. Cela signifie que c’est vous qui allez construire votre propre exercice comme le ferait un professeur. La fois suivante, reprenezla position de l’élève et tâchez de le résoudre.

Ce procédé est particulièrement intéressant, car il vous permet de comprendre réellement ce que vous apprenez. Utiliser les informations mémorisées dans un cadre concret est l’une des manières d’étudier les plus efficaces. N’hésitez pas à en user sans modération !

5- Se coucher tôt pour soigner son sommeil

Cette astuce est très souvent négligée par les étudiants. C’est pourtant l’une des plus importante si vous voulez vraiment étudier efficacement. Le sommeil joue un rôle primordial dans le mécanisme de la mémoire. En premier lieu, car une bonne nuit de sommeil permet d’avoir suffisamment d’énergie pour aborder sa journée en pleine forme et être vraiment attentif, mais pas seulement.

Lorsque vous dormez votre cerveau, lui, reste actif. Entre autres tâches, il  travaille à entretenir et restaurer les connexions neuronales qui sont indispensables à son bon fonctionnement.

Ne pas dormir suffisamment entraîne une altération de ces connexions que le sommeil de récupération ne permet pas de résorber. De récentes études scientifiques ont d’ailleurs établi un lien indiscutable entre le manque de sommeil chronique et les maladies neurodégénératives.

Pour réussir vos études, vous avez donc besoin de bonnes nuits de sommeil. Réviser jusqu’au petit matin à l’approche des partiels n’est donc pas une bonne idée, c’est même totalement contre-productif. Tout au long de l’année, couchez-vous à heure fixe autant que possible et assurez-vous d’avoir de 7 à 8 heures de sommeil chaque nuit.

Évitez les fêtes tardives qui vous apportent une gratification immédiate, mais nuisent à votre santé et à votre avenir. Pour avoir un sommeil profond et réparateur, éteignez tous vos écrans au moins 2 heures avant d’aller au lit. Un délai qui doit coïncider avec l’heure de votre dernier repas.

Évitez les activités mouvementées et retrouvez le plaisir de lire ou de profiter d’un moment de détente. Contrairement à une idée reçue, il est inutile de réviser le soir, car cela crée une tension cérébrale peu propice à l’endormissement. En revanche, vous pouvez relire vos cours une fois, car le sommeil aide à fixer les informations.

Grâce à ces 5 astuces efficaces et simples à mettre en œuvre, vous pouvez étudier plus efficacement. Que ce soit pour obtenir un diplôme ou pour le simple plaisir d’acquérir de nouvelles connaissances une bonne méthode suffit pour apprendre en toute simplicité. Écoutez-vous afin de trouver votre meilleur moment et dressez un planning pour cadrer votre pratique.

Pour mémoriser au mieux les informations, ne dépassez pas 2 heures de travail et utilisez des techniques comme l’association ou la mise en pratique. Enfin, rendez service à votre mémoire : dormez. Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour vous mettre au travail !

Comment apprendre plus vite ?

apprendre plus vite et facilementLe monde évolue plus tôt rapidement ces derniers temps, apprendre plus vite est devenu une nécessité pour être au diapason de cette évolution.

Il existe en dehors de l’apprentissage classique de nouvelle technique pour apprendre mieux, vite et facilement en stimulant de façon particulière son cerveau.

Le cerveau peut accomplir des tâches extrêmement variées et augmenter de manière impressionnante sa capacité de rétention juste en prenant soin de vous et de votre cerveau.

S’il est vrai que certaines personnes sont naturellement dotées d’une mémoire phénoménale, une personne ordinaire peut développer sa mémoire de manière impressionnante.

Votre cerveau est semblable à un muscle et peut s’adapter en se développant grâce à des exercices spécifiques.

Nous vous proposons donc quelques astuces pour vous permettre de renforcer votre mémoire et ainsi, booster votre capacité à mieux retenir et donc à apprendre plus vite.

L’apprentissage n’aura plus aucun secret sur vous, vous augmenterez votre quotient intellectuel en très peu de temps et de manière efficace.

Préparez-vous à l’apprentissage

Pour bien apprendre, il faut se mettre dans certaines dispositions, prendre soin de vous est indispensable si vous voulez avoir de meilleurs résultats. L’apprentissage est un art dont les techniques sont simples à mettre en place, mais difficiles à respecter, il faut donc un minimum de discipline pour y arriver et obtenir de bons résultats. Il y a comme dans toute méthodologie des règles à respecter, pour pouvoir apprendre plus vite il faut savoir faire la part des choses.

Voilà quelques actions à mener pour être préparé à bien retenir ce que vous apprenez :

  • Dormir suffisamment, en effet durant le sommeil, le cerveau est nettoyé des toxines à l’aide d’un fluide qui se crée spécialement pour ça. Pendant le sommeil les connaissances sont stabilisées et stockées durablement, l’insomnie est donc contreproductive ;
  • Manger équilibré, « ’ventre affamé n’a point d’oreilles »’ tachez de ne pas oublier ce dicton. L’alimentation est une donnée essentielle de votre apprentissage, mangez correctement durant vos trois principaux repas dans la journée, vos capacités intellectuelles n’en seront que meilleures encore. Manger des fruits secs ou frais vous évitera une digestion trop lourde et donc une perte d’énergie en cas d’exercices intellectuels prolongés ;
  • Il faut aussi penser à vous hydrater, votre corps et donc votre cerveau ont besoin d’eau pour mieux fonctionner. La déshydratation diminuera de fait votre niveau de concentration. Elle peut même s’avérer dangereuse en provoquant des maux de tête plus ou moins violents et ainsi freiner l’assimilation ;
  • Faire de l’exercice, une activité physique régulière et modérée est souhaitable, bon pour la santé et bien pour le corps elle est un bon stimulant pour votre cerveau. Des expériences ont démontré qu’on apprend plus vite après avoir pratiqué une activité physique pas très intense ;

Ces éléments de base sont des préalables à ne surtout pas négliger. Mais ils ne suffissent pas pour mener à bien cette épreuve.

Stratégies et méthodologie

L’apprentissage par définition est un processus complexe, pour cette raison, vous ne devez surtout pas avoir peur de vous tromper et faire des expériences. Dressez une liste des méthodes qui pourrait vous convenir, essayez différentes façons d’apprendre ensuite choisissez la méthode qui est la plus efficace pour vous.

Il faut voire l’apprentissage comme une expérience, pour la mener à bien il faut avoir un plan, une procédure de mise en œuvre et au moins un moyen d’évaluer les résultats.

Apprendre plus vite doit suivre la même logique avec la même rigueur, surtout, adoptez une méthode qui vous permette de suivre vos progrès et de les évaluer. Voici quelques pistes à prendre en considération :

  • Pour savoir comment former son cerveau à apprendre, vous devez être motivé, c’est le meilleur stimulant pour votre cerveau, fixez-vous un objectif et donnez-vous les moyens de l’atteindre. La concentration est la clé pour mieux travailler, mémoriser facilement et donc étudier aisément ;
  • Développer votre concentration est essentiel pour vite progresser, car votre apprentissage est fortement lié au développement de votre capacité à vous concentrer. Exécuter des tâches complexes pendant une durée d’exécution précise, va vous permettre de booster votre concentration et vous permet ainsi d’apprendre plus vite et plus facilement;
  • Fixez-vous un objectif qui vous conduira à apprendre plus et plus vite. Apprenez à maintenir votre attention tout le temps en toutes circonstances ;
  • Selon ce que vous voulez apprendre, vous devez trouver le style qui vous sied le plus, connaitre vos particularités est un atout essentiel pour bien apprendre. Votre mémoire peut être visuelle c’est-à-dire que votre cerveau enregistre plus rapidement les dessins et graphiques, transformer donc autant que faire se peut vos connaissances en courbes ou en cartes. Vous pouvez plutôt avoir une mémoire auditive c’est-à-dire que vous retenez facilement la voix, trouvez donc un moyen d’enregistrer tout ou une partie de vos cours. Selon le sujet à apprendre, vous devez pouvoir adapter votre façon d’apprendre, votre mémoire auditive est plus utile pour les sujets un peu abstraits comme la philosophie, l’histoire. Votre mémoire visuelle pour la géographie, les mathématiques.
  • Pour réviser efficacement, vous devez travailler régulièrement, ça porte toujours ces fruits. Vous devez élaborer des cartes mentales, surtout pour ceux qui ont une mémoire visuelle, faite des représentations graphiques en établissant des liens entre elles, durant son élaboration et sa mémorisation, cette carte structure la pensée et discipline votre esprit. Vous serez ainsi en mesure de mémoriser et d’approfondir vos connaissances rapidement tout en augmentant votre rétention à long terme et donc d’apprendre plus vite ;
  • Vous devez savoir que ce n’est parce que vous avez échoué à un test que vous ne connaissez pas, force est de relever que, connaitre ne suffit pas pour avoir le savoir-faire. C’est tout un art qui demande de l’expérience et du tact et heureusement cela aussi s’apprend, c’est la raison pour laquelle vous devez utiliser la stratégie qui simule le mieux votre environnement professionnel ;
  • L’astuce la plus utilisée est d’essayer de recréer votre environnement ainsi que l’atmosphère professionnelle qui y règne. Vous êtes ainsi psychologiquement en train de perfectionner et d’améliorer vos connaissances pour les transformer très progressivement en savoir-faire ;
  • Le plus souvent malgré vos connaissances votre état d’esprit peut vous freiner lorsque vous voulez mettre en pratique votre savoir-faire, il faut avoir confiance en vous ou du moins, vous reposer sur vos capacités pour résoudre vos problèmes, vous serez surpris du résultat ;

En dépit de tous ces conseils d’apprentissage, des soucis peuvent apparaitre lors de l’apprentissage.

Les problèmes d’apprentissage

Dans le cas où vous constatez que vous n’arrivez pas à vous concentrer pendant longtemps et même pas du tout où que votre cerveau retient finalement très peu de choses après des heures de travail. Surtout après avoir essayé différentes méthodes, il faut envisager la possibilité que vous souffriez d’un trouble de l’apprentissage.

Ces personnes qui en souffrent ne sont pas stupides, loin de là, simplement elles doivent apprendre différemment, mais ne s’en rendent pas toujours compte. De nos jours grâce à la science ces troubles de l’apprentissage sont bien identifiés. On peut citer entre autres :

  • La dyslexie qui est un trouble spécifique de la lecture. Si vous en souffrez, vous lirez quelque chose ou vous aurez même une difficulté à lire. Tout ce que vous lirez n’aura aucun sens pour vous, il vous sera donc très difficile d’apprendre plus vite ;
  • La dysgraphie et la dyscalculie qui sont des troubles assez proches de la dyslexie, mais ils touchent respectivement l’écriture et le calcul. Si vous réussissez à parler d’un sujet, mais que vous ressentez d’énormes difficultés à faire la même chose à l’écrit, il est possible que vous souffriez de dysgraphie. Par contre, si vous confondez les chiffres, que vous n’arrivez pas à les mémoriser ou à assimiler les apprentissages numériques, il est possible que vous souffriez de dyscalculie ;
  • Certaines personnes sont atteintes de trouble auditif central (TAC), dans ce cas il entend bien les sons, mais ne les analyse pas de façon adéquate. C’est une sorte de surdité sauf qu’en fait, il n’y a pas de problème d’audition ;
  • Certains troubles se manifestent par une incapacité à se concentrer lorsqu’il y a un arrière-fond bruyant. Dans de tels cas, il faut se faire diagnostiquer la maladie et trouver des mesures appropriées pour vous permettre de la pallier et donc d’apprendre plus vite ;

Une fois que ces difficultés sont ciblées et qu’un traitement est appliqué, l’apprentissage peut recommencer.

Astuces pour un apprentissage réussi

Il y a plus d’une seule façon d’apprendre, même si la plupart des gens n’utilisent souvent qu’une ou deux méthodes. Variez vos façons d’apprendre et adoptez celles qui vous paraissent les plus efficaces. Celles qui vous permettront d’apprendre plus vite, il faut savoir qu’il n’existe pas de définition claire du « bon apprentissage » ou de technique d’apprentissage idéale. La meilleure méthodologie dépend de vos aptitudes et de vos capacités à en faire bon usage.

Apprendre est une chose, savoir se servir de ses connaissances en est une autre n’hésitez pas à saisir toutes les occasions qui vous permettent d’utiliser votre savoir. Ceci étant, pour apprendre rapidement et efficacement, il faut connaitre et surtout adopter les stratégies qui permettent à votre cerveau de fonctionner de la façon la plus optimale possible. Les changements sont de plus en plus rapides, vous devez pouvoir vous adapter et apprendre plus vite que la moyenne.

Dormez suffisamment, consommez des aliments sains, hydratez-vous suffisamment et régulièrement, faites de l’exercice physique de façon modérée sont des éléments essentiels pour vite apprendre. Ensuite, vous devez stimuler votre cerveau et rester concentré en toutes circonstances durant votre apprentissage. Choisissez la stratégie d’apprentissage la plus optimale en tenant compte de vos capacités et des contraintes liées à votre contexte.

7 stratégies pour vaincre la peur de l’échec

La peur de l’échec est un véritable obstacle à la réussite.

En effet, nombreux sont ceux qui préfèrent ne rien tenter que de se confronter au risque d’échouer.

Quant aux plus téméraires qui osent malgré tout, il n’est pas rare de les voir brimer leurs capacités et amoindrir leurs objectifs. Cette attitude autodestructrice inconsciente leur permet d’éviter le danger d’une défaite trop grande.

Comment vaincre la peur de l’échec ? Découvrons dans cet article 7 stratégies efficaces.

Comprendre les origines de la peur de l’échec

Pourquoi en chercher les origines ?

Pour résoudre un problème, tel qu’il soit, il faut le soigner en profondeur. Notre société moderne occidentale a la mauvaise habitude de se préoccuper plus des feuilles que de la racine.

Pourtant, lorsque nous en traitons uniquement les symptômes, nous ne faisons que masquer tempo-rairement la difficulté. Tandis qu’en nous attaquant à l’origine de cette dernière, nous avons la pos-sibilité de la modifier définitivement. Combattre la peur de l’échec n’échappe pas à cette règle. Pour vaincre réellement la crainte d’échouer, il est nécessaire d’entamer un travail d’introspection.

Comment en chercher les origines ?

Tout problème a une explication. Il n’est cependant pas rare qu’elle soit complexe. En effet, il n’y a souvent pas une origine, mais des origines. Les peurs que nous entretenons aujourd’hui sont généralement le fruit de diverses expériences passées. Ces dernières peuvent remonter à très loin, jusqu’à la petite enfance, et même parfois jusqu’à la période de gestation !

Lorsque nous vivons des traumatismes, notre cerveau se conditionne de manière à tenter de nous en protéger. Ainsi, nous mettons en place divers schémas automatiques inconscients dans l’objectif de fuir des situations perçues comme des dangers potentiels.

S’il est difficile, voire impossible, de mettre précisément le doigt sur chaque instant qui a participé à la constitution de nos peurs, il reste intéressant d’en comprendre globalement les mécanismes. Pour cela, il est important de se questionner sur la ou les croyances limitantes qui se cachent derrière notre peur. Tentez toujours de percevoir la pensée derrière la pensée ! Se dire que l’on ne veut pas échouer n’est pas suffisant. Il faut se demander pourquoi l’on ne veut pas échouer ?

Au travers de questionnements, vous allez, de fil en aiguille, cheminer vers des éléments de ré-ponse. Une fois que vous aurez compris, en partie, les origines de votre peur, il deviendra beaucoup plus facile de la rationaliser et d’y faire face.

Quelles sont les origines fréquentes de la peur de l’échec ?

La société capitaliste et productiviste dans laquelle nous vivons valorise beaucoup plus le résultat que le parcours. Dès le plus jeune âge, nous sommes soumis, par exemple au travers de l’école, à un système compétitif par le biais de classifications ou encore de bons et de mauvais points. Ce dernier tend à comparer les individus, et utilise à tour de bras le bâton et la carotte pour faire avancer ses petits soldats.
Les parents, souvent eux-mêmes conditionnés par le monde dans lequel nous vivons, appuient ces schémas de pensées. Ils projettent sans cesse sur leurs enfants leurs propres rêves et leur propre vi-sion de la vie et de la réussite sociale. L’enfant tente alors à tout prix de satisfaire les attentes de ses figures d’attachement principales.

Par peur de décevoir, il s’impose une obligation de réussite. S’il faillit à cette dernière, il est con-fronté à des sentiments tels que la tristesse, la peur ou encore l’humiliation, et en vient à se dévalo-riser et perdre confiance en lui.

Concevoir l’échec différemment

L’échec est inévitable

Rappelons tout d’abord que l’échec fait partie de la vie. Il est inévitable de rater certaines choses que nous souhaitons obtenir, ou auxquelles nous aimerions arriver. Même le plus talentueux des êtres humains ne peut pas tout réussir. L’imperfection inhérente à la condition humaine rend impossible de vivre sans défaite.

Il vous arrive probablement d’avoir l’impression que certaines personnes connaissent un succès constant. C’est faux. Même les gens que vous admirez connaissent des situations d’échec. Face à cette réalité, n’est-il pas préférable d’accepter que de perdre son énergie à combattre l’inévitable ?

En repoussant sans cesse l’échec, non seulement vous créez l’échec en restant dans l’inaction, mais vous vous épuisez également inutilement à vouloir contrôler l’incontrôlable. Il est temps de lâcher-prise et d’oser prendre des initiatives. Il est difficile d’échouer, mais pire encore de ne même pas avoir essayé !

L’échec est constructif

Si vous avez peur de l’échec, c’est que vous le percevez comme quelque chose de négatif. En entretenant l’idée que l’échec est néfaste à votre vie, vous ne pouvez qu’avoir peur d’échouer.

Beaucoup de personnes sont persuadées qu’il faut tout réussir pour être brillant. En réalité, c’est exactement l’inverse ! L’échec est indispensable pour évoluer. Nous apprenons beaucoup plus de nos expériences que de nos connaissances. En faisant ce qu’on appelle couramment des « erreurs », nous tirons des leçons capitales pour la suite de notre existence. De même, ce que nous percevons parfois comme un échec s’avère un jour devenir un bienfait.

Parfois la vie nous enlève une chose à laquelle nous tenons pour nous en donner une autre encore plus précieuse. La sagesse implique de ne jamais considérer un événement comme un mal ou un bien, mais simplement comme une occasion de grandir et de rebondir vers de nouveaux horizons.

La notion d’échec est propre à chacun

Enfin, qu’est-ce que l’échec objectivement parlant ? Ce qui pour l’un est considéré comme échec sera pour l’autre un bienfait. Par exemple, certains individus estiment qu’obtenir un emploi stable est un élément de réussite dans la vie. Tandis que d’autres valorisent l’idée qu’il faut échapper à la société et son conditionnement en développant des alternatives de vie nouvelles.

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse, mais seulement des points de vue différents. Ainsi rappelez-vous que ce que vous appelez échec ne l’est pas nécessairement aux yeux de tous. La no-tion d’échec est extrêmement subjective. Le savoir permet de relativiser !

S’affranchir du regard des autres

La peur du regard des autres accentue la peur de l’échec

Lorsque l’on a peur d’échouer, c’est aussi parce que l’on craint le jugement des autres. En effet, beaucoup de personnes seraient plus sereines face à l’échec si ce dernier n’avait pas lieu sous le regard d’autrui.
Il n’est jamais agréable d’essuyer une défaite et d’entendre son entourage la commenter, même au travers de conseils qui se veulent parfois bienveillants. De même, nous craignons tous de renvoyer une image peu valorisante de nous-mêmes aux personnes qui nous entourent.

Nous pensons qu’en échouant, les autres évalueront négativement notre valeur ou nos capacités. Ainsi, le regard des autres devient une pression supplémentaire, et la peur d’échouer s’intensifie. Pour vaincre la peur de l’échec, il est capital de se libérer de ce poids.

Se maîtriser soi-même à défaut de maîtriser le monde

Si vous ne pouvez pas modifier l’attitude des autres, vous pouvez modifier votre positionnement face à leur attitude. C’est vous qui choisissez le comportement que vous voulez adopter face aux perturbations qui se produisent en dehors de vous ! Le véritable pouvoir ne réside pas en la maîtrise d’autrui, mais en la maîtrise de soi.

Apprenez progressivement à ne plus avoir besoin d’une validation extérieure pour vous sentir bien dans vos baskets. De même, apprenez à distinguer les attentes des autres à votre égard de vos propres désirs et aspirations. Ainsi, vous pourrez véritablement vous libérer du poids que représente votre entourage dans vos actions.

Penser positivement

Trier ses pensées

Nous avons souvent la fâcheuse tendance à imaginer le pire. En fantasmant sur divers scénarios catastrophes, nous ne faisons que cultiver notre peur de l’avenir, et donc notre peur d’entreprendre de nouvelles actions. Il est dommage de se préoccuper de problèmes qui n’existent pas encore, et qui n’existeront peut-être jamais !

Sans devenir naïf pour autant, il est possible d’appréhender la vie et ses événements plus positive-ment. Choisissez d’écouter la petite voix dans votre tête qui vous encourage, et non celle qui vous désespère. Visualisez l’avenir en partant du principe que, quels que soient les obstacles que vous rencontrez, vous aurez la force de les contourner.

Faire fonctionner la loi de l’attraction

Certains courants spirituels affirment que nous attirons inconsciemment à nous ce que nous vibrons. Peu importe les paroles que nous prononçons, l’énergie est réceptive aux vibrations, qui elles, ne peuvent pas mentir.

Par exemple, si une personne affirme vouloir devenir riche, mais qu’elle entretient intérieurement l’idée qu’elle ne mérite pas d’argent, elle risque de connaître le manque. Il est donc capital de modifier, non pas nos propos, mais nos croyances limitantes qui se cachent derrière nos propos. Ces dernières sont généralement ancrées en nous depuis longtemps, et concernent divers domaines de nos vies.
En déstructurant une à une ces fausses idées négatives, vous vous autorisez enfin à recevoir ce que vous méritez, et vous ouvrez la porte au succès.

S’ancrer dans l’instant présent

Arrêter de trop rationaliser

La peur de l’échec ne peut exister que pour celui qui se projette dans le futur. C’est seulement en imaginant ce qui pourrait se passer que nous nous mettons à avoir peur d’agir. Il est donc important de couper court aux flux de pensées trop envahissants en se recentrant sur le moment présent.

Prenez le temps d’être, ici, et maintenant. Agissez avec plus de spontanéité, simplement en suivant votre intuition, dans vous posez des milliers de questions. Évitez de tout rationaliser à l’excès, et laissez-vous diriger avec confiance par le courant de la vie.

Pratiquer la méditation

Il existe plusieurs outils qui peuvent aider à s’ancrer dans l’instant présent. Parmi ces derniers, la méditation. Pas besoin d’être un expert ni un grand sage pour commencer à méditer quelques minutes par jour.

Installez-vous confortablement, dans l’endroit que vous voulez, et dans la position que vous voulez. Laissez-vous pleinement aller. Concentrez-vous sur les sensations de chaque partie de votre corps. Ne cherchez ni à chasser vos pensées ni à les entretenir. Le temps d’un instant, autorisez-vous simplement à être ce que vous êtes, ici et maintenant, sans aucune attente.

Fractionner votre objectif en différentes parties

Gravir une montagne à la fois

Parfois, c’est l’immensité des objectifs que nous visons qui nous effraie. Ils sont tellement grands que nous ne savons pas par quel bout commencer. L’ampleur de la tâche nous décourage à l’avance.
Ce type de situation est le meilleur moyen pour accentuer la peur de l’échec. Pour résoudre le pro-blème, il est possible de décomposer un grand objectif en plusieurs petits objectifs. Il s’agit en quelque sorte de le fractionner en différentes étapes. Il deviendra alors beaucoup plus facile d’oser se lancer, mais aussi de percevoir ses progrès et donc de s’encourager à continuer.

Se concentrer sur un objectif à la fois

De même, il est préférable de ne pas se perdre dans un nombre d’objectifs incalculable. Il vaut mieux se concentrer sur un objectif unique et rassembler toute son énergie pour l’atteindre que de ne vouloir tout réussir en même temps et finalement ne rien faire du tout. Quand les objectifs sont trop nombreux, nous sommes également découragés d’avance par l’ampleur de la tâche qu’ils an-noncent. Apprenez donc à classer vos priorités de manière à réaliser une chose après l’autre !

Aller au-devant de sa peur

Savoir relativiser le pire

Le meilleur moyen de vaincre sa peur est généralement de l’affronter en prenant les devants. Quand vous avez peur d’échouer, demandez-vous quel serait pour vous le pire des scénarios possibles.

Ensuite, analysez ce scénario et demandez-vous ce que vous risqueriez réellement à le vivre. Dans la majorité des cas, vous allez vous rendre compte que même la pire des éventualités ne vous met pas réellement en danger. Une fois que vous savez que même face au plus difficile, vous pourrez rebondir, il devient beaucoup plus simple de relativiser et de se lancer.

Sauter dans le vide

L’inconnu est effrayant justement parce qu’il est mystérieux. Le meilleur moyen de l’apprivoiser reste de le découvrir. Une fois que quelque chose se révèle, il devient beaucoup moins sujet aux fantasmes et donc aux peurs. La meilleure des thérapies est donc d’oser, tout simplement !

7 stratégies pour vaincre la peur de l’inconnu

La peur de l’inconnu est un sentiment que chacun a éprouvé au moins une fois dans sa vie.

De par sa nature, l’être humain aime avoir un contrôle plus ou moins absolu sur son environnement.

Dès que certains paramètres lui échappent, il développe de l’anxiété qui peut très rapidement se transformer en obstacle.

Les conséquences sont nombreuses. Elles peuvent aller de la simple peur de prendre des décisions, à l’incapacité à de poser des actions.

La peur de l’inconnue est amplifiée par le doute. Plus les questions sont nombreuses, plus cette peur sera importante. Pourtant, il est évident qu’il est impossible de trouver la réponse à certaines questions si on n’a pas déjà engagé certaines actions. En d’autres termes, quel que soit le niveau de contrôle que vous souhaitez avoir, il y a toujours une marge qui échappera à votre contrôle.

Pourquoi continuer à vouloir tout contrôler ? Heureusement, il existe des stratégies pour vaincre la peur de l’inconnue

1- S’informer du mieux qu’on peut

L’inconnu peut avoir plusieurs visages. C’est d’ailleurs le nombre important de possibilités qui effraie. Que ce soient les questions qui sont suscitées par ce nouveau territoire où vous devez aller vivre, par les exigences du métier que vous êtes sur le point d’embrasser,  ou encore par les contraintes liées au projet que vous allez lancer, la peur de l’inconnu est constamment présente dans votre vie.

À défaut d’avoir les réponses à toutes les questions, trouvez le moyen d’en savoir le maximum avant de vous engager dans quoi que ce soit. Évitez les décisions prises sur des coups de tête.

Parfois aussi, vous êtes sous l’influence d’un grand nombre de préjugés et d’apriori : les médias, l’inconscient collectif, les histoires entendues, les idées reçues… Toutes ces informations qui sont souvent loin d’être avérées peuvent renforcer l’image négative que vous avez d’une réalité bien précise.

Le plus simple serait d’approcher une personne qui a déjà pratiqué le chemin que vous vous apprêtez à prendre. Les livres, les vidéos sur internet, les recherches un peu poussées peuvent vous permettre de vous faire une idée sur le sujet qui attise vos peurs.

2- Éviter de vouloir tout contrôler

Le fait de vouloir tout contrôler est un gros piège. Une fois que vous vous engagez sur ce chemin, chaque élément qui s’ajoute a de fortes chances de vous déstabiliser. Il est donc important de lâcher prise.

Pour être plus efficace, assurez-vous de bien avoir la main sur ce que vous avez pu répertorier comme facteurs importants. Pour les autres, ne vous cassez pas la tête. Laissez les choses venir. C’est souvent au pied de l’ouvrage que les bonnes techniques et méthodes pour se tirer d’affaire apparaissent. Accroissez vos chances de vaincre vos peurs. Une fois que vous vous dites que vous allez forcement rencontrer des imprévus, vous êtes mentalement préparé à cela. La peur de perdre tout contrôle est le début de la perte de contrôle.

3- Accepter de quitter sa zone de confort

Faire un saut dans le vide c’est clairement quitter sa zone de confort. Tant que cela n’est pas clairement accepté, il est impossible de vaincre la peur de l’inconnu.

Imaginez que vous deviez quitter votre ville, votre pays, pour une destination que vous n’avez jamais visitée. Vos habitudes les plus banales risquent de connaitre un chamboulement. Que ce soit votre alimentation, vos fréquentations, les activités que vous menez, votre style vestimentaire même… toutes ces choses sont susceptibles d’être affectées. Rendez-vous à l’évidence.

Faire le choix d’affronter l’inconnu, c’est donc faire également le choix de changer ses habitudes. En fonction du changement qui vous attend, une préparation sera nécessaire.

4- Ne pas avoir peur d’échouer

L’échec est une éventualité qui fait reculer bon nombre d’initiatives. Le regard des autres, les contraintes financières, sociales… sont autant de réalités qui se bousculent dans l’esprit de celui qui a l’intention de s’engager dans une aventure aux multiples inconnus. Il faut donc être prêt à oser. Vaincre la peur de l’inconnu c’est d’abord et avant tout accepter de l’affronter.

Il ne faut pas se voiler la face. Il n’existe pas de projet, ni même de choix qui ne soit sujet à aucun risque ou possibilité d’échec. Il faut composer avec. À moins que votre souffle doive s’arrêter si vous échouez, vous aurez les moyens de vous remettre au moins à votre niveau initial, même si vous ne réussissez pas. Prenez en compte ce cas de figure et laissez-vous une porte de sortie avant de vous lancer.

Si vous comptez lancer un projet par exemple, engager l’entièreté de vos économies serait prendre un risque énorme. Vous y croyez peut-être, mais nul n’est à l’abri des imprévus. Accordez-vous une marge de subsistance en cas de mauvais calcul. En gros, ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier. Le fait de savoir que vous avez la possibilité de rattraper, un tant soit peu, le tir en cas de fiasco peut vous aider à être plus rassuré et à vous engager avec moins de crainte.

5- Visualiser

Faites-vous une image mentale de ce qui vous attend. Imaginez. Projetez-vous. Peu importe si vous vous faites de fausses idées. Mieux vaut avoir un socle sur lequel s’appuyer que de ne rien avoir du tout.

L’image mentale que vous vous faites doit s’appuyer sur vos capacités et compétences du moment. Si telle situation se présente à vous, êtes-vous en mesure de réagir efficacement ? Avez-vous les ressources pour tenir le coup. Que ce soit des contacts, des stratégies, des délais, des marges de manœuvre… Établissez une carte sous forme de chronogramme.

Bien sûr vous ne pouvez pas faire un tour de magie pour prévoir tout. S’il le faut, prenez conseil auprès de personnes qui pourraient, par leur expérience, vous aider à bien ficeler votre carte mentale. Jouez la carte du réalisme.

6- Développer ses compétences

Sans compétences, vouloir vaincre la peur de l’inconnu sera peine perdue. Pour le peu que vous savez, vous pouvez déduire les compétences qui vous seront indispensables. Il est inutile de vous précipiter. Ne prenez pas le risque de perdre votre chemin dès les premiers instants.

Les compétences ne se trouvent pas forcément dans les livres. Il vous faudra peut-être modifier vos habitudes sur une certaine période, et attendre de voir le changement, avant de faire votre grand saut.

Il vous faudra d’abord faire une sorte d’audit. Faites le même avec le peu d’informations que vous avez. Quelles sont vos compétences ? Quelles sont celles qui vous maquent ? Trouvez les bons créneaux et travaillez à combler vos manques. Jouez la carte de la préparation.

7- S’entourer de personnes positives

Pour réussir à vaincre la peur de l’inconnu, il est important de s’entourer de personnes positives. Les personnes que vous côtoyez ont une forte influence sur vous. Prenez donc garde de choisir celles qui n’amplifieront pas vos craintes au lieu de vous aider à les vaincre.

Par prudence, vous pouvez sélectionner les personnes à qui vous en parlerez, en tenant compte de l’énergie [positive ou négative] qu’elles peuvent dégager. Éloignez-vous des pessimistes. Jouez la carte de la discrétion.

Toutes les stratégies pour vaincre la peur de l’inconnu s’appuient sur un mental solide. Vous devez conditionner votre esprit pour qu’il puisse être dans les meilleures dispositions. Quelles sont vos réussites passées ? Vous en avez déjà eu au moins une fois. Appuyez-vous sur ces acquis et challengez-vous devant les difficultés éventuelles qui croiseront votre chemin. Et si vous échouez, vous aurez au moins gagné une leçon. Elle vous servira pour les autres fois.

Arrondir ses fins de mois en testant des produits

arrondir ses fins de mois en testant des produitsArrondir ses fins de mois en testant des produits est un désir grandissant pour de plus en plus de gens, et ce n’est pas sans raison.

En effet, il est rendu plus que facile aujourd’hui de gagnant de l’argent avec différentes méthodes sur Internet.

C’est un  sujet qui revient encore et encore, et c’est de bon augure. On sait tous que l’argent est très important et que tout le monde en cherche. Même ceux qui en ont.

Je suis sûr que vous aussi, c’est la même chose… Si vous êtes sur cet article, c’est que le sujet vous intéresse. N’est-ce pas ?

Vous avez déjà surement vu plein d’autres articles qui parlent de ce sujet de l’argent, c’est normal. Mais il faut toujours remettre une couche de rappel et de nouveauté, s’il en existe. C’est très important.

Peur être que vous n’en savez rien, et que c’est maintenant que vous prenez connaissance de ce sujet. Si c’est le cas, signalez-vous. Je pourrai vous aider personnellement et de manière personnalisée. Ou encore, je vous invite à aller fouiner sur ce blog. Vous en trouverez surement un bon lot.

Le plus difficile dans ce genre de chose, ce n’est pas de ne pas savoir. Le plus difficile, c’est d’appliquer. La pluspart du temps, on sait mais on ne pratique pas, on ne passe pas à l’action. Et après on dit que ça ne marche pas. N’est-ce pas contradictoire.

Aujourd’hui encore, pour une enième fois, nous parlerons de l’argent. De comment gagner de l’argent sur Internet, de manière saine, et ce pour simplement tester des produits gratuitement.

Nous allons donc nous focaliser essentiellement sur les tests de produits. Les possibilités sont tellement nombreuses que nous ferons une série d’article de ce genre, par catégorie.

Aujourd’hui, nous verrons comment arrondir ses fins de mois en testant les produits.

On y va ! Go !

L’état d’esprit

Je ne cesserai de le dire. Tout part de votre état d’esprit.

Vous devez y croire. Vous devez vous dire que c’est possible. Sinon, vous avez tout perdu.

Certaines personnes gagnent beaucoup d’argent grâce à internet, et ce n’est pas les témoignages qui manquent. J’en suis moi-même une des preuves vivantes. Mais je ne parlerai pas de moi. Je vous invite plutôt à aller faire une recherche du côté de Google ou de Youtube, vous en trouverez plein. Des témoignages vivants. Des gens qui sont même devenus millionnaire grâce à Internet et qui en vivent pleinement. Je ne parle pas de ces vendeurs d’illusions qui expliquent comment gagner de l’argent et qui eux même, n’en gagnent rien. Faite bien le tri et vous en verrez.

En plus, vous devez vous dire que ce n’est pas sorcier. Il y a des efforts à faire, bien sûr. Mais si d’autres y arrivent, pourquoi pas vous.

Les moyens existent, et vous devez passer à l’action. Comme les autres l’ont fait. Ce n’est pas sorcier. Pratiquez, pratiquez, pratiquez. C’est seulement comme ça que vous tirerez les vrais fruits.

Passons maintenant dans le vif du sujet : comment gagner de l’argent en testant des produits ?

Comment gagner de l’argent en testant des produits ?

1ère méthode : Gagner de l’argent par la formation

Vous n’arrivez pas à identifier le lien que nous faisons entre la formation et les tests de produits ? Je vous explique.

On vient de se dire, dans le paragraphe précédent, que des gourous du web profitaient bien d’internet en gagnant beaucoup d’argent sur cette plateforme. Ces gourous-là partagent beaucoup de leurs stratégies et connaissances à travers des formations, des livres et des séminaires. Vous ne pensez pas qu’il serait plus aisé pour vous, et même plus avantageux de vous approcher de ces derniers, et de vous former à leurs écoles. C’est un raccourci considérable qui ne dit pas son nom.

Prenez donc la peine de vous former. Testez les stratégies que vous partagent ces gourous. Appliquez ce qu’ils vous demandent. Et vous en tirerez sûrement de gros profit.

Et puis, une chose que nous négligeons souvent mais qui a une valeur sans mesure, quand vous achetez le produit d’un de ces gourous, ne vous arrêtez pas là, dans votre coin, à tester et à agir simplement. Non. Appliquez bien sûr, mais posez-lui des questions. Echangez avec lui. Faite-lui des retours, constructifs bien sûr. C’est comme ça qu’il vous remarquera.

Vous devez créer un lien avec ce gourou, de telle sorte à pouvoir profiter au maximum de ses connaissances. Vous pourrez bénéficier de conseils supplémentaires, de recommandations. Et même d’un partenariat. Et ça, c’est l’une des clés de réussite assurée. Vous bénéficierez de son audience et de sa popularité.

Vous voyez ? Achetez les livres, participez aux formations et séminaires organisés par les personnes à qui vous voulez ressembler, et vous gagnerez sûrement.

2ème méthode : gagner de l’argent par le système de l’affiliation

Vous connaissez tous l’affiliation, n’est-ce pas ? (si non, c’est que vous êtes nouveaux sur ce blog. Bienvenue, vous pouvez y rester. Vous y trouverez toute une panoplie d’article prêt à vous aider dans votre aventure sur le web. Et si vous avez des besoins particuliers, je suis disponible. Vous pouvez m’en parler, soit en commentaire de cet article, soit par mail, soit sur mes réseaux sociaux). On ferme la parenthèse.

L’affiliation, c’est le fait de recommander un produit et / ou un service de quelqu’un d’autre et de recevoir une rétribution de sa part quand on conclut une vente ou quand on accompli l’action demandée.

La boutique d’en bas de chez vous vend du chocolat. Vous y faite venir des clients qui achètent le chocolat. Le vendeur vous donne une commission pour vous remercier de la vente que vous lui avez permis de faire. Voici caricaturé l’affiliation.

Mais, ce n’est pas tout. Que ce soit en dur ou sur le web, vous devez être sûr de la qualité du produit que vous recommandez. Vous devez le tester avant. Vous ne devez pas recommander pour recommander. Ça peut jouer contre vous.

Si on revient sur notre exemple des chocolats. Vous ne pouvez pas dire aux gens de venir acheter le chocolat de votre pâtisserie d’en bas, si vous n’êtes pas sûr que c’est du bon et doux chocolat. Vous imaginez ce que les gens penseront de vous si ce n’est pas le cas.

Votre image est en jeu. Vous devez pour cela, tester les produits que vous recommandez.

Au-delà de la satisfaction des personnes à qui vous avez fait la recommandation, vous serez plus à l’aise et plus confortable à parler d’un produit que vous connaissez, que vous avez testé et qui vous a apporté satisfaction à vous-même. Et ça se fera sentir dans votre recommandation. Et c’est tout à votre profit.

Prenez donc cette peine. Tester les produits que vous voulez proposer en affiliation.

Mais pourquoi je parle de l’affiliation ?

L’affiliation est un gros levier aujourd’hui utilisé pour gagner de l’argent, assez aisé à mettre en place en plus. Comprenez donc. Vous ne créez pas de produit, vous ne gérez pas de stock, vous dites seulement à votre entourage que vous avez vu un produit qui peut les intéresser et qui leur sera bénéfique, et hop, vous avez de l’argent.

N’est-ce pas belle la vie ?

Allez ! Essayez ! Passez à l’action. C’est comme ça que vous gagnerez de l’argent.

3ème méthode : gagner de l’argent par les systèmes de parrainage

Je sais que vous vous attendiez à des produits spécifiques que vous pourriez tester. Ça me fait sourire, parce que les produits, on vous en cite, vous partez les voir, et après, vous laissez tomber.

Je sais que ce n’est pas votre cas, et que, à partir d’aujourd’hui, vous irez jusqu’au bout, jusqu’à votre succès.

C’est pour cela que je veux aller plus loin.

Aujourd’hui, je veux vous recommander une plateforme toute entière où les marques, elles même, viennent vous accompagner dans votre réussite. Il s’agit de la plateforme Famebit (https://www.famebit.com).

Je vous invite à aller faire un tour sur cette plateforme. Vous serez surpris. Si vous avez une passion, si vous êtes créatif, c’est l’endroit rêvé.

Famebit est une place de marché pour les créateurs et les entrepreneurs qui recherchent des opportunités de sponsoring et de parrainage et qui gagnent de l’argent en créant et en distribuant du contenu de qualité. Vous imaginez ! Une grande marque qui vous parraine, c’est l’argent assuré.

Et ce qui est bien en plus, c’est que vous êtes libre de choisir la marque que vous voulez qui vous accompagne. Au passage, il y a un flux constant d’opportunités reparties sur plusieurs catégories. Et vous avez le choix. Vous décidez de quand et avec qui vous voulez travailler et pour combien.

N’est-ce pas extraordinaire ? Allez-y faire un tour, vous verrez.

  • Vous allez sur le site de la plateformeFamebit
  • Vous choisissez votre parrainage : plus de 890 opportunités de parrainage
  • Vous vous faite embaucher en soumettant vos propositions créatives pour les parrainages que vous souhaitez avec votre taux
  • Et vous êtes payé dès que votre contenu est approuvé par la marque.

Je n’en dis pas plus. Allez-y faire un tour et on en parlera dans les commentaires si vous le voulez.

Retenez simplement que c’est un nouveau type de service et que vous avez donc plus de chance maintenant, plus que jamais, de facilement avoir le parrainage qu’il vous fait, pour votre succès grâce au web.

Trop parler sans agir n’apporte rien. Connaitre sans passer à l’action est peine perdue.

Je vous ai informé, maintenant vous savez, aller voir de quoi il s’agit, tester et vous verrez.

J’attends vos retours d’expérience dans les commentaires. Dites-moi ce que vous pensez de cette plateforme et comment vous prévoyez en tirer profit.

N’oubliez pas, seul le passage à l’action paye.

L’une des clés de votre réussite

Une des clés de réussite sur le web, c’est le trafic.

Vous devez avoir du trafic pour profiter pleinement des différents moyens existant pour gagner de l’argent sur le net. Plus vous avez du trafic, plus vous avez la possibilité de faire des ventes, et plus donc la chance de gagner beaucoup d’argent.

Générer donc du trafic, et donc une audience est essentiel pour votre réussite. Sans trafic, pas de vente.

En plus, ce trafic, vous devez l’entretenir. D’où l’importance d’utiliser ce qu’on appelle les auto répondeurs. Ça, c’est un autre sujet. Je n’en parlerai pas ici. J’en ai parlé dans bien d’autres articles et pourrait encore en produire, de bien ciblé, si vous en voulez. Dites-le nous dans les commentaires.

Voilà !

Je n’ai pas parlé aujourd’hui de plateforme où on s’inscrit, on teste un produit et l’agence en question nous verse de l’argent en fonction de notre rendement. Non ! Bien que ce soit des moyens qui génèrent quand même de l’argent, je considère que ce sont des clopinettes. Juste de quoi pouvoir payer son sandwich journalier. Ou de quoi se rendre compte qu’on peut gagner rapidement des centiles grâce à Internet.

Aujourd’hui, c’est tout autre chose, et vous l’avez sûrement remarqué. Je veux que vous empruntiez le niveau plus au-dessus. Et que réellement, vous gagnez de l’argent, du vrai argent. C’est pourquoi je vous ai partagé aujourd’hui des moyens sûrs de gagner du vrai argent.

La formation, l’affiliation, les fameuses plateformes de parrainage du genre Famebit, sans oublier l’importance de générer du trafic et de bien le manager. Vous avez là les clés pour une réussite assurée. La balle est dans votre camp.

Je ne le dirai pas assez, et c’est la dernière fois que je le dis : sans actions, pas de résultats. Passez donc à l’action.

Et dites-moi dans les commentaires ce que vous avez retenu de tout ça. Dites-moi ce que vous comptez faire, maintenant que vous savez comment bien arrondir vos fins de mois en testant des produits. À toute suite dans les commentaires.

Oups !!! J’allais oublier.

Je sais que l’information que vous venez de recevoir peut aider et orienter plus d’un, c’est pourquoi je vous invite à la partager autour de vous, à vos connaissances, sur vos réseaux sociaux. Les gens vous en seront reconnaissants.

Et dernière chose, faite-moi votre retour d’expérience et vos témoignages. Ainsi, les plus sceptiques pourront constater des possibilités offertes par internet.
A toute suite dans les commentaires.

Comment avoir du courage ?

comment avoir du courageAvoir le courage est sans aucun doute l’une des valeurs que partagent le plus, les personnes qui parviennent à impacter ce monde.

Que ce soit pour leurs découvertes, leurs engagements ou même leur histoire tout simplement, ils ont eu recours au courage pour passer certains caps.

Cultiver un esprit de courageux est de ce fait, une tâche à laquelle s’adonnent énormément de personnes, pourtant, ce n’est pas toujours évident d’y arriver, du moins dans l’immédiat.

Avoir du courage nécessite du temps, mais aussi une volonté à toute épreuve et de la persévérance jusqu’au bout.

Que ce soit pour se surpasser, démontrer aux autres que l’on est capable d’accomplir telle ou telle autre chose, ou même pour surmonter une peur, avoir du courage est une nécessité.

Cherchez à avoir le courage, mais dans quel but ?

Avant de jeter l’ancre, le capitaine d’un navire s’assure toujours que son bâtiment est dans les conditions optimales, de manière à être persuadé que face au déchaînement des éléments, face à la tornade, tout l’équipage sera en sécurité.

Par analogie, avoir le courage s’apparente à se préparer pour les moments difficiles en s’équipant pour anticiper. D’un autre point de vue, trouver le courage permet de passer d’un niveau X à un niveau Y, car chaque progression nécessite sa dose de courage. Et cette liste pourrait être bien plus longue. Il apparaît alors évident qu’il serait hasardeux de vouloir définir une liste exhaustive de raisons qui pourraient pousser une personne à chercher à avoir le courage.

Cependant, il faut garder à l’esprit que l’on a recourt au courage en face de ce qui n’est pas courant, usuel. Si donc il vous vient l’envie de passer à un autre cap dans votre vie, prenez la peine de vous munir de courage, et pour y arriver, il existe bien des voies et moyens à suivre.

L’un des pièges auquel de nombreuses personnes se font prendre, c’est de s’engager dans une aventure dans le but de contenter une tierce personne. En partant sur cette base, vous risquez de très vite vous essouffler. Si les motivations ne sont pas fortes, l’issue ne sera pas atteinte.  L’engagement qui doit vous pousser à chercher à avoir le courage doit d’abord être personnel et motivé par des raisons claires, en vue de clarifier les objectifs que vous souhaitez atteindre. Évitez également le suivisme et l’envie de vouloir, par tous les moyens, être mis au-devant de la scène.

Quelles sont vos pires craintes ?

Avoir le courage passe par l’identification formelle de vos « points faibles ». La peur se manifeste de plusieurs manières. Elle peut aller de la simple hésitation, au refus catégorique de prendre des initiatives, sans omettre la manifestation de troubles quand vient la prise de décision. Si vous voulez avoir le courage, vous devez commencer par identifier de façon formelle vos pires craintes. Pour y arriver, vous allez devoir faire preuve de réalisme et surtout de franchise envers vous-même.

En effet, il existe des peurs que l’on a du mal à s’avouer à soi-même, souvent parce que l’on en est gêné, ou simplement par refus d’acceptation, par refus d’assumer. Vous allez devoir faire face à toutes ces considérations et faire une introspection. Considérez les pensées qui vous font le plus peur : parler en public, vous retrouver dans le noir, parler à des inconnus, vous adresser à une personne de l’autre sexe, affronter les épreuves…

Il n’existe pas de formule miracle pour retrouver ces choses-là, posez-vous juste les bonnes questions et laissez votre mémoire vous faire remonter les bonnes réponses.

Maintenant, vous allez devoir classifier toutes vos craintes. D’un côté, vous noterez celle qui vous paraît surmontable, et d’un autre, celles qui vous paraissent plus ancrées en vous et donc difficilement éliminables. Une fois que vous aurez défini cette liste, il va falloir déterminer pour chacune d’elles, les raisons réelles qui vous poussent à avoir peur.

De façon plus concrète, si vous avez peur de prendre la parole en public par exemple, ce sera peut-être parce que vous doutez de votre éloquence, ou encore que vous doutez de votre parfaite maîtrise du sujet, ou encore que vous gardez une mauvaise expérience d’une mésaventure au cours de laquelle vous aviez eu à prendre la parole en public. Les raisons peuvent être diverses. L’objectif ici, c’est de réussir à trouver la « faille » pour tenter de colmater la brèche, tant que faire se peut.

Dans notre exemple précèdent, peut-être que ce que vous gagneriez à faire, c’est de travailler votre prise de parole, ou encore de privilégier des rencontres dont les thématiques sont en rapport avec des sujets que vous maîtrisez parfaitement, ainsi il vous sera plus simple de vous exprimer. Comme le citait à juste titre Boileau, « tout ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément ». Il ne pensait pas si bien dire.

Trouvez donc les raisons qui créent en vous toutes ces craintes et vous vous rapprocherez des solutions qu’il vous faudra appliquer pour vous améliorer. Avoir le courage nécessite du temps, en fonction de vos objectifs. Pour les craintes qui vous paraissent beaucoup plus ancrées en vous, il vous faudra, bien entendu, beaucoup plus de temps pour vous en débarrasser que des premières.

Soyez raisonnable, Rome n’a pas été construite en un jour

Ne vous précipitez pas. Vous ne parviendrez à atteindre vos objectifs que si vous procédez palier par palier, objectif par objectif. Il vous faudra être tout simplement réaliste.

Avant d’atteindre tous vos objectifs, vous devrez dans certains cas, travailler plusieurs points sous-jacents avant de voir le courage enfoui en vous, submerger. Une personne qui a du mal à entretenir une conversation avec des inconnus devra d’abord, apprendre à le faire en présence des personnes avec laquelle elle partage des affinités, puis au fur et à mesure, apprendre à s’habituer à de nouveaux visages, toute seule. Sans ce travail préalable dont l’efficacité ne se constate que sur le long terme, il est difficile de ne pas être déçu après une tentative infructueuse. Ne vous mettez aucune espèce de pression et allez à votre rythme, selon vos objectifs.

Sortez de votre zone de confort

La zone de confort est cet espace où l’on se sent comme en condition de laboratoire : sans obstacle, sans mauvaise surprise, sans changement qui exige une nouvelle adaptation… bref, c’est le cadre idéal qui en réalité n’est rien d’autre que le plus gros de tous les pièges. La zone de confort vous conditionne dans un idéal de vie qui bien souvent est aux antipodes de la réalité. S’y conformer c’est alors fermer la porte à d’autres univers.

Votre zone de confort, vous ne devrez pas y demeurer, du moins si vous aspirez à avoir le courage. C’est certainement le plus grand « tueur de courage ». Parce qu’elle met à votre disposition toutes les conditions auxquelles vous êtes habitués, elle risque de vous plonger dans un univers duquel vous ignorez tout, dès que vous la quittez. Osez le changement !

Apprenez par l’expérience

Il s’agit peut-être du meilleur des professeurs. L’expérience vous fait apprendre de vous-même, car elle vous met face aux faits tels qu’ils sont, et cela, sans artifice. Mais pour être à même de constater les avantages de l’expérience, il faut réussir à en tirer des leçons.

Voici trois questions, anodines à première vue, mais qui sont efficaces pour tirer des leçons de vos diverses expériences.

  • Ou êtes-vous déjà tombé ?

Si vous aspirez à trouver le courage aujourd’hui, c’est sûrement parce que vous en avez manqué quelque part. Identifiez là où vous avez déjà échoué.

  • Qu’est-ce qui en était à la base ?

Identifiez formellement les raisons de vos échecs passés. Les mêmes causes produisent les mêmes effets, alors autant les écarter quand elles sont mauvaises.

  • Comment pouvez-vous faire en sorte que cela ne se répète plus ?

Chaque problème a sa solution. Trouvez des moyens adaptés et efficaces, pour sortir de l’impasse.

Ne vous focalisez pas que sur vos réussites, mais jetez un œil sur vos échecs passés et tournez-les à votre avantage. Si cela est nécessaire, n’hésitez pas à demander l’avis d’autres personnes dans votre entourage. On a parfois du mal à se découvrir soi-même sous son vrai jour. Mais avant, assurez-vous que ce sont des personnes de confiance qui vous répondront en toute franchise, sans forcément chercher à vous caresser dans le sens du poil, ou encore profiter de cette « brèche » pour vous faire culpabiliser ou vous enfoncer un  peu plus. Restez objectifs !

Heureusement, vous pouvez aussi apprendre des autres, de leurs expériences, de leurs exploits. Pour cela, l’un des moyens les plus efficaces reste la lecture. Certaines personnes à qui la vie a imposé de faire preuve de courage et de détermination face à des situations bien précises ont eu la hauteur d’esprit de consigner toutes leurs expériences dans des livres. Considérées comme des leaders, des modèles, des motivateurs, ce sont pourtant des questionnements, des doutes, des hésitations qui ont jalonné leurs parcours. En les lisant, vous apprendrez énormément de ces personnes, et pourrez adapter ce que vous en tirez de bon à votre propre vie.

Au-delà de la lecture, n’hésitez pas à parler aux autres, au regard de leurs expériences dont vous avez connaissance. Si vous traversez une situation qu’une personne de votre entourage a déjà vécue et a réussi à s’en sortir par la grande porte, il ne vous coûte rien de l’approcher et de prendre des conseils auprès d’elle. Vous gagnerez un temps fou, et bénéficierez d’une expérience réelle, donc forcément enrichissante.

Non, le courage ce n’est pas l’absence de peur

Avoir le courage ne revient pas à être complètement dépouillé de ses peurs et de ses angoisses. Pas du tout. C’est plutôt se donner les moyens pour arriver à contenir ses « moments de faiblesse ». Ainsi, si vous craignez le vide plus que tout, il ne servira à rien de vouloir faire un saut à une hauteur vertigineuse pour vous prouver à vous-même, ou même à votre entourage que vous êtes courageux. Au meilleur des cas, vous vous résignerez au moment de sauter. Retenez tout simplement que vous ne devez pas manquer de réalisme et choisir d’évoluer par niveaux.

Le courage en réalité se cultive. Ne poussez pas le bouchon trop loin. Le risque que vous courez en le faisant, c’est de prendre une grosse claque qui vous enlèvera toute volonté de reprendre le chemin du courage. Soyez déterminés, mais pas audacieux à l’excès. Vos objectifs doivent être déterminés dans la durée. Vous n’êtes en compétition avec personne, alors pourquoi vous mettre une pression inutile. Imposez votre rythme.

Passez à l’action !

Tant que vous ne passez pas à l’action, vous ne pourrez jamais évaluer votre capacité à faire preuve de courage. Donnez-vous de petits défis et passez à l’action. N’attendez pas de vous trouver en face d’un mur avant de chercher en vous les capacités pour l’escalader. Agissez par anticipation. Ce sont les petites actions que vous poserez au quotidien qui vous permettrons de vous améliorer.

Si vous souhaitez être plus efficaces, vous devez trouver les moyens pour rendre compte de vos différents engagements. Trouvez dans votre entourage une personne de confiance, à qui vous ferez comprendre votre envie d’aller de l’avant. Déterminez ensemble des objectifs concrets que vous voulez atteindre, et acceptez de rendre compte à cette dernière en fonction de ce que vous aurez défini.  Prenez cela très au sérieux, car il en ira de l’efficacité de vos actions. Le fait de savoir qu’un regard est posé sur vous peut vous pousser à vous surpasser et à éviter toute procrastination.

Passer à l’action c’est aussi et surtout le fait de ne rien négliger, même les actions les plus élémentaires. Inculquez-vous cette habitude de toujours faire comme convenu. Les personnes courageuses sont aussi des personnes bien organisées. C’est d’ailleurs cette aptitude qui leur permet de mieux orienter leurs tirs après chaque échec.

Si vous tombez, relevez-vous et continuez

Le courage s’exprime dans l’adversité. Si vous vous engagez dans une initiative et que vous n’avez pas à fournir des efforts pour y arriver, quel mérite votre courage doit-il  avoir ? Aucun. C’est la capacité à continuer, alors que tout indique que vous devez vous arrêter, qui fait de vous une personne qui a du courage. Ne regardez pas au nombre de vos échecs, mais plutôt à vos objectifs à long terme.

C’est au quotidien que l’on trouve le vrai courage

En réalité, personne n’acquiert le courage, car il n’est pas statique. Aussitôt que vous aurez atteint un objectif, vous sentirez en vous la volonté d’aller encore plus loin, et encore et encore. C’est la volonté de toujours aller loin qui fera grandir en vous le courage.

Dans vos activités quotidiennes, prenez des initiatives, même si c’est enjeu semble insuffisant, continuez. Tant que cela vous fait avancer, donnez-vous à fond. Commencez par votre cercle d’influence et élargissez cela à l’infini si vous le souhaitez.

Ce sont les aptitudes que vous aurez acquises dans le secret, qui parleront en votre faveur devant tous. Ne prenez donc pas cela comme une tâche de trop, mais une place dans l’atteinte de vos objectifs.

Avoir du courage est un long chemin. Sur le parcours, vous rencontrerez pas mal de situations qui seront de nature à vous empêcher d’atteindre vos objectifs. Parvenir à les surmonter, pour continuer à défendre votre engament sera certainement la première preuve qu’au bout du chemin, vous sortirez avec une plus grande dose de confiance en vous. Avoir le courage, c’est aussi se connaître et savoir se surpasser.

Pourquoi toujours vouloir avoir raison ? Regardez:

toujours vouloir avoir raisonL’être humain a tendance à toujours vouloir s’imposer. Que ce soit pour faire prévaloir son avis, sa position, ou toute autre chose, il trouve le moyen d’être celui qui a le dernier mot.

De cette manière de procéder, naît très souvent des conflits qui peuvent conduire à des conséquences d’une envergure plus grande.

Pour bien cerner cette situation, il convient de comprendre pourquoi certaines personnes veulent toujours avoir raison.

Avoir raison donne un air de supériorité et procure une sensation de satisfaction et d’accomplissement. Celui dont l’argumentaire réussi plus ou moins à surpasser ceux des autres apparaît aussitôt comme quelqu’un de plus intelligent, de plus brillant, bref, cette personne semble être meilleure que les autres.

Comprendre les motivations

Les raisons qui poussent une personne à toujours vouloir avoir raison sont nombreuses, les circonstances qui conduisent à cela sont variées. Il est difficile de définir un standard, car, autant une personne qui veut s’imposer par tous les moyens est influencée par une enfance au cours de laquelle elle a toujours eu le dernier mot, autant elle peut l’être du fait de n’avoir pas assez eu l’opportunité de donner son avis. Ces deux cas de figure sont envisageables, et ce n’est pas tout.

Dans la plupart des cas, il y a trois éléments essentiels qui ressortent.

  • Le complexe de supériorité

Le complexe de supériorité est la manifestation d’une fâcheuse tendance à vouloir s’affirmer toujours plus fort que les autres, à vouloir paraître toujours plus intelligent, ou encore d’être convaincu que l’on ne peut jamais être devancé par une autre personne. Pris sous un certain angle, cette attitude n’est pas mauvaise cependant, lorsque quelqu’un en arrive à ne plus vouloir considérer les avis d’autrui en croyant détenir l’exclusivité de la vérité, nous sommes de plain-pied dans l’excès. Et quelqu’un l’a dit quelque part, tout excès devient nuisible.

  • L’égoïsme

L’égoïste ne pense que pour lui et par lui. De ce fait, que ce soit après analyse ou non d’une prise de position, d’un avis, d’un choix effectué par une autre personne, il reviendra toujours sur le choix de sa proposition à lui. Essayer de l’en dissuader est très souvent une entreprise vaine.

  • La mauvaise compréhension

Ne pas être en mesure d’accepter que les autres aient parfois raison, que leurs avis soient aussi valables peut-être dû à une incapacité à les comprendre. Déjà pour comprendre il faut écouter. Il est alors clair que celui qui refuse d’écouter ne pourra jamais apprécier les avis différents des siens à leurs justes valeurs. Il arrive aussi qu’une personne soit convaincue irrémédiablement par une idée. Parvenir à lui faire changer d’avis peut très vite se transformer en casse-tête chinois.

Au-delà de toutes ces considérations, pour avoir raison, il existe des méthodes.

Savoir avoir raison

L’être humain aime se sentir valorisé. Si vous souhaitez que votre avis soit pris en compte — car c’est selon vous la meilleure — vous, ne devez jamais rejeter celui des autres comme un vulgaire torchon. Cette attitude a tendance à rendre l’autre réfractaire et fermé sur tout ce qui suivra. Il faut agir avec tact et délicatesse.

  • Commencer par relever les points positifs

Une proposition aussi tordue soit elle a toujours au minimum un ou deux points positifs. À votre niveau, considérez ces éventuels points positifs comme des indicateurs. Repérez-les et le moment venu, faites comprendre à votre interlocuteur que vous remarquez des points positifs que son idée ou sa proposition fait ressortir. Attardez-vous sur ces points positifs aussi insignifiants soient – ils. Attention à ne pas tomber dans une flatterie vague et sans justifications.

  • Faire remarquer les insuffisances

Une fois que vous aurez relevé les points positifs, vous remarquerez que votre interlocuteur vous accordera une plus grande attention. C’est alors le moment de faire une transition. Elle consistera à mettre en relief les points « moins positifs ». La consigne première est de ne jamais être cru ni désagréable. En usant de retenue, faites comprendre à votre interlocuteur que certains points pourraient être améliorés. Ne vous limitez pas à énumérer des points sans apporter d’éclairage. Évertuez-vous à lui faire comprendre les limites de son point de vue sans le vexer. De votre manière de procéder dépendra l’attention qu’il accordera à vos propositions.

  • Donner son point de vue

Votre point de vue, aussi extraordinaire qu’il puisse vous paraître, peut avoir des insuffisances. Sans mettre en doute la crédibilité de vos propos, évitez surtout de donner l’impression que vous avez une idée de génie. Restez plutôt raisonnable pour ne pas paraître plein d’égo.

Une fois que le décor est planté, mettez en avant les points forts de votre prise de position. Analysez ensemble pour ensuite laisser le soin à l’autre de tirer sa conclusion. L’objectif est de lui faire des suggestions sans qu’il s’en rende compte. Pour cela, il existe de nombreuses astuces.

L’une d’entre elles consiste à poser des questions. Regardez plutôt ces quatre exemples :

  1. Ne penses-tu pas que si l’on procède de la sorte les résultats seront meilleurs ?
  1. Étant donné que la situation est ainsi, ne serait-il pas plus judicieux d’appliquer cette méthode ?
  1. Plutôt que de chercher à contourner le problème, ne serait-il pas plus efficace de le résoudre définitivement ?
  1. Cette méthode n’est-elle pas envisageable ?

Vous devez laisser la proposition venir de votre interlocuteur. En toute objectivité, vous devez admettre lorsque c’est le cas, que vous ne pouvez pas toujours avoir raison.

Réorganiser ses idées

Si vous constatez que vous ne parvenez pas à convaincre l’autre partie, lâchez prise pour mieux organiser votre argumentaire. La vérité c’est que des arguments mal rendus peuvent apparaître sous un autre visage. Il convient alors d’être convaincu soi-même avant de parvenir à être convaincant. Réorganisez vos idées, revoyez l’ordre dans lequel vous les présentez, faites le tri pour ne garder que les meilleures, puis assurez-vous d’avoir toute l’attention de votre auditoire avant de vous lancer.

Accepter de reconnaître son tort

Rentrer en confrontation directe pour imposer sa position ou son point de vue se solde très souvent par un échec. Dans bien des cas, l’objectif de chaque partie n’est pas de confronter ses arguments à ceux de l’autre partie comme cela devait être le cas. En souhaitant s’imposer coûte que coûte, il devient quasi-impossible pour l’une des parties de se laisser convaincre par l’autre. Cela est valable dans les deux sens.

Dans un cadre professionnel par exemple, le fait de vouloir toujours avoir raison peut devenir un véritable poison et finir par se transformer en un conflit d’intérêts.

Vous devez être capable de vous rétracter lorsque votre raison vous le fait comprendre.

Vouloir toujours avoir raison est le propre de l’Homme. En effet, cet état de fait donne de la valeur vis-à-vis de son égo et réjouit le cœur. Mais pour y arriver, il faut des méthodes qui ne sont pas toujours sues de tous. Si rentrer en confrontation directe vous semble être la meilleure manière de convaincre les autres, pensez dorénavant à essayer d’autres méthodes qui vous engagent moins dans une sorte de défi. En plus de faire comprendre à votre interlocuteur que vous lui accordez toute sa valeur à son point de vue, vous pourrez par la même occasion lui suggérer votre avis qu’il ne verra plus comme un dictât que vous lui imposez.

Il est raisonnable de vouloir avoir raison, mais face aux limites de ses arguments, reconnaître que l’on a le dos au mur peut éviter un grand nombre de désagréments. Plutôt que de vouloir toujours avoir raison, militez pour que l’avis le plus raisonnable prenne toujours le dessus.

Comment être positif : 30 façons de le rester au quotidien!

comment être positifNous vivons dans une société qui évolue à une vitesse surprenante. Les évènements se succèdent tellement rapidement que l’on en perd très souvent le fil.

Que nous le voulions ou pas, nous en sommes influencés. Dès lors, si nous n’y prenons garde, nous développons des attitudes qui sapent le moral. Au quotidien, faire le choix d’être positif s’impose.

Pourquoi rester positif ?

La positivité est un état d’esprit qui a pour objectif de nous faire passer d’une vie de frustration à vie d’épanouissement total. Cela est possible si certaines techniques sont appliquées. Dans les lignes qui vont suivre, nous vous proposerons 30 façons de rester positif au quotidien.

1 — Décider de faire le choix

Une chose est certaine, le point de départ de toute entreprise, c’est le choix. Vous devez tout d’abord choisir de demeurer positif avant de vouloir appliquer quelques techniques que ce soient pour y arriver. Le plus important c’est de comprendre que sans volonté réelle, il est impossible de positiver, car c’est un processus qui devra faire partie de votre quotidien. Vous devrez vivre en ayant à l’esprit que la moindre décision que vous prendrez aura un impact direct sur vous. Le choix est un impératif.

2 — Se lever du bon pied

Le réveil matinal a une incidence extraordinaire sur la journée tout entière. C’est en quelque sorte le point de départ, c’est lui qui donne le ton de la journée. Si vous pensez qu’une situation risque de vous irriter à votre réveil, donnez le tout pour le tout afin de la résoudre avant de fermer les yeux pour la nuit. Assurez-vous qu’en ouvrant les yeux et en quittant votre lit, aucune idée négative ne viendra vous fermer les portes d’une journée pleine de bonne humeur. Une journée réussie se prépare la veille déjà.

3 — Faire ce qui procure du plaisir

Il n’y a rien de plus gratifiant que de pratiquer une activité qui procure du plaisir. Une fois entamé, votre cerveau délivre des hormones qui seront bénéfiques pour tout votre organisme. Vous ne pourrez que profiter de ses bienfaits. C’est donc à vous de voir, qu’est-ce qui vous procure du plaisir ?

 4— Fréquenter des « personnes positives »

Le pessimisme est contagieux, bien plus contagieux que certaines affections connues par la médecine moderne. Entourez-vous de personnes aptes à vous faire nourrir des pensées positives. Les pessimistes, trouvez le moyen de les fréquenter le moins que vous le pouvez. Observez tous vos amis, analysez leurs propos. Sont-ils du genre à déprimer rapidement ou plutôt à toujours sortir des phrases qui encouragent ? Ouvrez les yeux et décidez de ceux à qui vous voulez « ressembler ».

5 — Laisser les choses venir

Il est des évènements de votre vie que vous ne pourrez jamais influencer. Inutile donc de vouloir user de pouvoirs dont vous ne disposez pas. Lorsque vous accepterez de laisser ces « super-évènements » suivre leur cours, vous pourrez aisément vous concentrer sur celles qui sont de votre ressort. Vous aurez ainsi refoulé une culpabilisation gratuite.

6 — Ne pas se concentrer (constamment) sur ses objectifs

La poursuite des objectifs lorsqu’elle devient obsessionnelle peut altérer gravement votre perception des priorités. Si l’atteinte de ces objectifs devient difficile, voire impossible, vous développerez sans vous en rendre compte, une grosse dose d’amertume qui commencera à détruire l’estime que vous avez de vous-même.

7 — Faire attention à ce que l’on regarde/écoute

Ce que vous entendez, les programmes télévisés que vous regardez, la musique, internet… influencent votre subconscient. Cette influence vous emmènera à être enclin à un certain type de réflexions. Un tempérament défaitiste s’acquiert au fil du temps. Privilégiez les programmes qui vous aideront à élever votre esprit.

8 — Éviter de demeurer dans l’oisiveté

La solitude a certes ses avantages, mais elle vous met dans la position idéale pour ruminer amertumes et frustrations déjà vécues. Privilégiez une activité saine qui conditionnera votre esprit à positiver.

10 — Ne pas tomber dans le piège de la routine

L’être humain a une fascinante capacité d’adaptation qui est bénéfique dans bien des aspects de la vie. Cependant, lorsque s’installe la routine, le plaisir débarrasse le plancher. Une activité qui vous arrachait un brin de sourire pourra très vite vous paraitre ennuyeuse si elle devient trop répétitive et mécanique. À la longue, elle deviendra nocive pour votre esprit. Osez innover.

11 — Vaincre ses craintes

Lorsque vous vous posez la question de savoir si vous arriverez à atteindre un objectif spécifique, retenez que c’est aussi parce que vous pouvez arriver à le faire qu’il y a un doute dans votre esprit. Surmontez la crainte d’échouer et focalisez-vous sur la possibilité extraordinaire que vous avez de réussir. Une crainte constante vous fera entrer dans ce cercle vicieux : crainte — échec — frustration — crainte.

12 — Planifier ses journées

La déprime vient souvent du fait que les objectifs fixés n’ont pas été atteints. Mettre toutes les chances de votre côté dans l’atteinte de vos objectifs est donc primordial. Organisez-vous, planifiez, faites ce que vous savez le mieux faire.

13 — Contrôler ses émotions

Les émotions ont une incidence immédiate sur vos états d’âme et d’esprit. Pour les contrôler, vous devez d’abord vous connaitre parfaitement. Ensuite, ce sera à vous de savoir quel impact telle ou telle autre entité peut produire sur vous. Une fois que vous avez l’information, faites le choix de ce que vous laisserez vous affecter.

14 — Pratiquer le « monologue de la motivation »

Tenez-vous devant un grand miroir, de préférence le matin avant de quitter la maison. Observez-vous droit dans les yeux pendant un instant (5 à 10 secondes). Puis, parlez comme si vous étiez en face d’une autre personne. Prononcez des pensées positives, prononcez-les à haute voix. Dites à celui que vous voyez en face de vous que vous le savez capable de faire telles choses ou telles autres encore. Rassurez-le quant à ses chances de réussite. Sa confiance ou plutôt votre confiance en sera affectée positivement.

15 — Être simple comme un enfant

Observez un enfant qui s’en donne à cœur joie à un jeu qu’il adore. Vous le verrez rire aux éclats, sans se soucier de quoi que ce soit. C’est ainsi que vous devez être. Sachez apprécier chaque instant de bonheur qui se présente à vous. Chassez la tristesse. Profitez de la vie.

16 — Éviter les comparaisons gratuites

La comparaison, si elle a pour but de vous faire évoluer est souhaitable. Dans la plupart des cas, il est difficile de l’utiliser pour atteindre cet objectif. En règle générale, les comparaisons servent à s’assurer que l’on est bien meilleur que celui-ci ou encore celui-là. Elle est utilisée dans un esprit de compétition. Si elle est mal gérée, la frustration qui en résulte peut être grande. En fin de compte, ce sont des pensées pessimistes qui sont récoltées.

17 — Avoir confiance en soi

La confiance est la première arme qui éloigne le pessimisme. Tant que vous souffrirez d’un manque de confiance, vous aurez tendance à toujours croire que les autres sont meilleurs que vous. Difficile dans ces conditions de demeurer positif. Gardez à l’esprit vos exploits passés, inspirez-vous-en pour garder une mentalité de vainqueur.

18 — Lire régulièrement

La lecture est un voyage fabuleux qui vous permet de transcender les réalités de ce bas monde, en mettant à rude épreuve votre imagination. Pratiquez-la plus souvent. Vous pouvez par exemple vous réserver quelques minutes de lecture, une fois dans votre lit,  avant de vous endormir. Vous parviendrez ainsi à libérer votre esprit de toutes les tensions endurées au cours de la journée, et préparer celle à venir.

19 — Lever les yeux et contempler le ciel

Levez les yeux vers le ciel, contemplez-le durant quelques secondes. Regardez les oiseaux qui virevoltent, observez leur liberté et dites-vous que vous êtes aussi libres. Dites-vous que ce monde est beau et fabuleux, souvenez-vous que vous avez votre rôle à jouer dans ce beau décor.

20 — Se donner du repos

Un esprit ou un corps épuisé commence à se rapprocher de la nervosité. Si vous sentez que vous êtes à bout, n’hésitez pas à prendre un bon repos bien mérité. Votre bonne humeur aura ainsi le temps de se régénérer.

21 — Se fixer des objectifs à très court terme

Des objectifs à très court terme ont pour but de créer en vous la fierté d’avoir accompli quelque chose de probant. Ne vous en privez pas, gratifiez-vous de vos acquis et votre volonté de continuer deviendra encore plus grande.

22 — Refuser de voir le verre à moitié vide…

Face à une situation donnée, tout est dans les yeux de celui qui observe. Chaque évènement prend la valeur que l’on décide de lui accorder. Le maitre à bord c’est bien vous. Devant un projet qui peine à aboutir parce que certains moyens font défaut, le pessimiste se concentrera sur ce « trou » qui en empêche l’accomplissement. Il développera alors des pensées et des attitudes qui le rendront amer et incapable de poursuivre le projet pour lequel il se montrait si enthousiaste.

23 — … et se focaliser sur celui à moitié plein

Pour ce qui est de quelqu’un d’optimiste, il gardera plutôt les yeux sur les réalisations déjà faites, en restant positif quant aux perspectives à venir. Ici encore, chacun aura décidé de ce qu’il veut garder dans son esprit. Il vous faudra forcer votre esprit à se focaliser sur le positif, au fil du temps, cet exercice deviendra plus évident, il relèvera plus de l’intuition.

24 — Savoir écouter les autres

S’il est difficile de parler, il l’est encore plus d’écouter les autres le faire, surtout s’il est question d’un sujet sans grand intérêt. Pourtant, il s’agit bien d’une qualité qu’il faut avoir si l’on veut demeurer positif au quotidien. Le fait que vous ne soyez pas vraiment intéressés par un sujet et que vous devriez l’écouter tout de même peut créer en vous des pensées négatives qui peuvent aller jusqu’à une aversion contre votre interlocuteur. Vous devez lutter contre cela. Une fois que vous aurez appris à le faire, vous ne vous limiterez plus au message porté, mais vous accorderez toute son importance à votre interlocuteur. Vous ne développerez plus d’amertume.

25 — Faire la paix

Une personne avec un cœur en peine réduit ses chances de nourrir des pensées positives. Que vous soyez fautifs ou non, faites l’effort, dans la mesure du possible, de trouver les moyens de mettre fin à toute situation qui crée en vous des ressentiments. Une fois que vous l’aurez fait, vous serez surpris de constater la paix intérieure qui vous submergera. Votre esprit sera ainsi libéré.

26 — Être aimable

Ne nourrissez pas un tempérament d’éternel frustré. Soyez aimable, efforcez-vous de sourire plus souvent et de dire des mots agréables aux autres. Encouragez-les pour leurs réussites mêmes les plus insignifiantes. La première conséquence c’est que ces derniers seront plus aimables envers vous et  vous apprécieront mieux. La seconde vous la remarquerez vous-même, car vos journées deviendront plus gaies et plus illuminées.

27 — Consulter un psychologue

Il peut arriver que votre pessimisme provienne d’un détail dont vous-même n’avez pas conscience. Pensez à consulter un psychologue qui vous aidera à déceler cela.

28 — Pratiquer la relaxation

À certains moments, il suffit juste de libérer votre esprit pour mieux vous sentir. Pensez à vous relaxer plus souvent. Pratiquez du sport, sortez suivre un film au ciné… L’objectif est de libérer la tension que vous avez emmagasinée dans votre système nerveux. Le bien que vous en tirerez vous surprendra.

29 — Le rituel de la motivation

Chaque fois que vous vous sentez en train sombrer dans le pessimisme, trouvez un moyen de revenir à la berge. Vous pouvez par exemple vous répéter intérieurement une phrase auto-motivante. Cela pourrait être une phrase qui ressemble à celle-ci : « Je peux y arriver, car j’ai en moi les capacités de le faire ». Autrement, ça pourrait être une sorte de fiche sur laquelle une telle phrase est écrite, il s’agira donc de la sortir et de la visualiser.

30 — Ne pas se priver de rire

Connaissez-vous les vertus du rire ? Au-delà de tout, rire permet de libérer la joie enfouie en vous. Ne vous empêchez donc pas de rire quand l’occasion se présente.

Décider d’être positif au quotidien est un choix qui garantit une vie d’épanouissement. D’un côté, vous rendrez votre vie plus harmonieuse, car vous serez en phase avec vous-même, mais d’un autre côté, vous vous attirerez la sympathie de votre entourage, car vous serez d’une compagnie agréable. Le choix vous revient.

Comment parvenez-vous à demeurer positif au quotidien ?